On ne change pas est le premier Best Of en français de Céline, regroupe des tubes comme « D’amour ou d’amitié », « Ziggy », « Pour que tu m’aimes encore », « S’il suffisait d’aimer » et « Sous le vent. » Cette superbe compilation double inclut également trois titres inédits : « Je ne vous oublie pas », « Tous les secrets » et « I Believe In You » (duo avec IL DIVO)
On ne change pas est également disponible en édition digipack de collection comprenant un DVD bonus avec 30 minutes d’images exclusives et le clip de « Je ne vous oublie pas »
Dans mes absences parfois sans doute
J’aurais pu m’éloigner
Comme si j’avais perdu ma route
Comme si j’avais changé
Alors j’ai quelques mots tendresse
Juste pour le dire Je ne vous oublie pas
Non, jamais
Vous êtes au creux de moi
Dans ma vie, dans tout ce que je fais
Mes premiers amours, mes premiers rêves
Sont venus avec vous
C’est notre histoire à nous
Je ne vous oublie pas
Non, jamais
Vous savez tant de moi
De ma vie, de tout ce que j’en fais
Alors mes bonheurs, mes déchirures
Se partagent avec vous
C’est notre histoire à nous
Je ne vous oublie pas
Parce que le temps peut mettre en cage
Nos rêves et nos envies
Je fais mes choix et mes voyages
Parfois j’en paie le prix
La vie me sourit ou me blesse
Mais quelle que soit ma vie
Je ne vous oublie pas
Non, jamais
Vous êtes au creux de moi
Dans ma vie, dans tout ce que je fais
Mes premiers amours, mes premiers rêves
Sont venus avec vous
C’est notre histoire à nous
Je ne vous oublie pas
Même à l’autre bout de la terre
Je continue mon histoire avec vous
Je ne vous oublie pas
Non, jamais
Vous êtes au creux de moi
Dans ma vie, dans tout ce que je fais
Mes premiers amours, mes premiers rêves
Sont venus avec vous
C’est notre histoire à nous
Je ne vous oublie pas
Non, jamais
Vous savez tant de moi
De ma vie, de tout ce que j’en fais
Alors mes bonheurs, mes déchirures
Se partagent avec vous
C’est notre histoire à nous
Je ne vous oublie pas
(Jacques Veneruso)
Ton regard comme une caresse
Je me sens si bien
Puis tes yeux s’envolent et me laissent
Et je n’ai plus rien
Qu’un reflet de toi
Tu es loin déjà
Je ne connais pas
Tous les secrets de ton coeur
Mais je viens quand même, tu vis
Quelque part entre douleur et douceur
Mais je viens quand même
Je te suis quand même
Tu m’entoures comme un drap de soie
Je me sens si bien
Puis je perds l’écrin de tes bras
Et je n’ai plus rien
Tu t’en vas là-bas
Tu es loin de moi
Je ne connais pas
Tous les secrets de ton coeur
Mais je viens quand même, tu vis
Quelque part entre douleur et douceur
Mais je viens quand même
Je te suis quand même
(K. Lundin / S. Thott / D. Thott / C. Björsell / J. Veneruso)
J’ai compris tous les mots, j’ai bien compris, merci
Raisonnable et nouveau, c’est ainsi par ici
Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
Que le temps d’avant, c’était le temps d’avant
Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent
Il faut que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Fallait pas commencer m’attirer me toucher
Fallait pas tant donner moi je sais pas jouer
On me dit qu’aujourd’hui, on me dit que les autres font ainsi
Je ne suis pas les autres
Avant que l’on s’attache, avant que l’on se gâche
Je veux que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
Je ferai nos bagages pour d’infinies vendanges
Les formules magiques des marabouts d’Afrique
J’les dirai sans remords pour que tu m’aimes encore
Je m’inventerai reine pour que tu me retiennes
Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
Vos jeux seront les nôtres si tel est ton désir
Plus brillante plus belle pour une autre étincelle
Je me changerai en or pour que tu m’aimes encore
(Jean-Jacques Goldman)
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon coeur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les coeurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer
(Jean-Jacques Goldman)
Et si tu crois que j’ai eu peur
C’est faux
Je donne des vacances à mon coeur
Un peu de repos
Et si tu crois que j’ai eu tort
Attends
Respire un peu le souffle d’or
Qui me pousse en avant
Et
Fais comme si j’avais pris la mer
J’ai sorti la grand’voile
Et j’ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J’ai trouvé mon étoile
Je l’ai suivie un instant
Sous le vent
Et si tu crois que c’est fini
Jamais
C’est juste une pause un répit
Après les dangers
Et si tu crois que je t’oublie
Écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit
Ferme les yeux
Et
Est-ce que tu seras près de moi
Sous le vent
(J. Veneruso)
J’ai déposé mes armes
A l’entrée de ton coeur
Sans combat
Et j’ai suivi tes charmes
Lentement, en douceur
Quelque part là-bas
Au milieu de tes rêves
Aux creux de ton sommeil
Dans tes nuits
Un jour nouveau se lève
A nul autre pareil
Et tu sais, depuis…
Tout l’or des hommes
Ne vaut plus rien
Si tu es loin de moi
Tout l’amour du monde
Ne me fait rien
Alors surtout, ne change pas
C’est un nouveau voyage
Le destin, le hasard
Peu importe
Qui m’a montré le passage
Qui allait jusqu’à toi
Et tu sais, depuis…
Tout l’or des hommes
Ne vaut plus rien
Si tu es loin de moi
Tout l’amour du monde
Ne me fait rien
Surtout, ne change pas
(Jacques Veneruso)
Détourner des rivières, porter des poids
Traverser des mers, je saurais faire
Défier des machines, narguer des lois
Les foudres divines, ça m'effraie pas
J'sais prendre un coup, le rendre aussi
River des clous, ça j'ai appris
J'suis pas victime, j'suis pas colombe
Et pour qu'on m'abîme, faut qu'je tombe
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je savais le silence depuis longtemps
J'en sais la violence, son goût de sang
Rouges colères, sombres douleurs
Je sais ces guerres, j'en ai pas peur
Je sais me défendre, j'ai bien appris
On est pas des tendres par ici
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Lutte après lutte, pire après pire
Chaque minute, j'ai cru tenir
J'voudrais apprendre jour après jour
Mais qui commande à nos amours?
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je sais pas
Je sais pas
(Jean-Jacques Goldman / J. Kapler)
On ne change pas
On met juste les costumes d’autres sur soi
On ne change pas
Une veste ne cache qu’un peu de ce qu’on voit
On ne grandit pas
On pousse un peu, tout juste
le temps d’un rêve, d’un songe
Et les toucher du doigt
Mais on n’oublie pas
L’enfant qui reste, presque nu
les instants d’innocence
Quand on ne savait pas
On ne change pas
On attrape des airs et des poses de combat
On ne change pas
On se donne le change, on croit
que l’on fait des choix
Mais si tu grattes là
Tout près de l’apparence tremble
un petit qui nous ressemble
On sait bien qu’il est là
On l’entend parfois
Sa rengaine insolente
qui s’entête et qui répète
Oh ne me quitte pas
On n’oublie jamais
On a toujours un geste
qui trahit qui l’on est
Un prince, un valet
Sous la couronne un regard
une arrogance, un trait
D’un prince ou d’un valet
Je sais tellement ça
J’ai copié des images
et des rêves que j’avais
Tous ces milliers de rêves
Mais si près de moi
Une petite fille maigre
marche à Charlemagne, inquiète
Et me parle tout bas
On ne change pas, on met juste
les costumes d’autres et voilà
On ne change pas, on ne cache
qu’un instant de soi
Une petite fille
Ingrate et solitaire marche
et rêve dans les neiges
en oubliant le froid
Si je la maquille
Elle disparaît un peu,
le temps de me regarder faire
Et se moquer de moi
Une petite fille
Une toute petite fille
(Jean-Jacques Goldman)
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Va pour tes forêts tes loups tes gratte-ciel
Va pour les torrents tes neiges éternelles
J'habite où tes yeux brillent où ton sang coule
Où des bras me serrent
J'irai où tu iras, mon pays sera toi
J'irai où tu iras qu'importe la place
Qu'importe l'endroit
Je veux des cocotiers des plages
Et des palmiers sous le vent
Le feu du soleil au visage
Et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages
Et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants
Va pour tes cocotiers tes rivages
Va pour tes lagons tout bleu balançant
J'habite où l'amour est un village
Là où l'on m'attend
J'irai où tu iras, mon pays sera toi
J'irai où tu iras, qu'importe la place
Qu'importe l'endroit
Prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d'ici
L'escampette et la poudre et la fille de l'air
Montre-moi tes édens montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes zestes d'ouest
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Qu'importe j'irai où bon te semble
J'aime tes envies j'aime ta lumière
Tous les paysages te ressemblent
Quand tu les éclaires
J'irai où tu iras, mon pays sera toi
J'irai où tu iras qu'importe la place
Qu'importe l'endroit
(Jean-Jacques Goldman)
Ici l’automne chasse un été de plus
La 4L est morte on a repeint la rue
Elise a deux dents, Petit Jean est grand et fort
J’apprends la guitare, j’en suis à trois accords
J’ai trouvé des girolles au marché ce matin
J’aimerais vivre à Rome oh j’aimerais bien
J’ai planté des tulipes elles tardent à éclore
C’est tout je crois, ah oui, je t’aime encore
Mais où es-tu ?
Aussi loin sans même une adresse
Et que deviens-tu ?
L’espoir est ma seule caresse
J’ai coupé mes cheveux, « enfin » dirais-tu
Oh ça m’a fait bizarre mais j’ai survécu
On m’invite, on me désire et je danse et je sors
Et quand je danse je t’aime encore
Mais où es-tu ?
Aussi loin sans même une adresse
Et que deviens-tu ?
L’attente est ma seule caresse
Et je t’aime encore
Comme dans les chansons banales
Et ça me dévore
Et tout le reste m’est égal
De plus en plus fort
A chaque souffle à chaque pas
Et je t’aime encore
Et toi tu ne m’entends pas
(Jean-Jacques Goldman / J. Kapler)
Y’a pas de voiles aux volets de mes frères
Y’a pas d’opale autour de mes doigts
Ni cathédrale où cacher mes prières
Juste un peu d’or autour de ma voix
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Des feux d’été je vole aux sombres hivers
Des pluies d’automne aux étés indiens
Terres gelées aux plus arides déserts
Je vais je viens, ce monde est le mien
Je vis de notes et je vis de lumière
Je virevolte à vos cris, vos mains
La vie m’emporte au creux de tous ses mystères
Je vois dans vos yeux mes lendemains
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Je prends le blues aux signaux des répondeurs
Je prends la peine aux aéroports
Je vis l’amour à des kilomètres ailleurs
Et le bonheur à mon téléphone
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
(Jean-Jacques Goldman)
Je lui dirai qu’il est de ce pays
Où son grand-père était bûcheron
Que dans son sang l’Orient coule aussi
Que les mélanges font de beaux enfants
Qu’il est fort et bien vivant
Je lui dirai qu’il est né de l’amour
Que nous l’attendions passionnément
Que chaque nuit s’efface au nouveau jour
Qu’il sera grand mais qu’il a bien le temps
Oh dieu qu’il a bien le temps
Et que la vie l’appelle que le monde l’attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu’il est beau, que je l’aime, qu’il est ma vie, ma joie
Qu’il est un parmi des millions d’humains
Mais bien l’unique pour moi
Je lui dirai qu’ici bas tout s’apprend
Le bien le mal et même le bonheur
Qu’il ne perde jamais ses yeux d’enfant
Devant trop de malheurs et de laideur
Qu’il regarde avec son coeur
Je lui dirai d’être sage et prudent
D’aller frôler les glaces et les feux
Qu’il goûte à tout mais sans jamais dépendre
Que trop peut être pire que trop peu
Oh bien pire que trop peu
Et que la vie l’appelle que le monde l’attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu’il est beau, que je l’aime, qu’il est ma vie, ma joie
Qu’il est un parmi des millions d’humains
Mais bien l’unique pour moi
Je lui dirai les chansons les poèmes
Qu’il n’y a pas d’amour sans histoire
Que le bonheur est un grain que l’on sème
Qu’amour et santé ne s’achètent pas
Et qu’on n’est riche que de ça
Je lui dirai qu’un jour une autre femme
Viendra l’aimer et qu’il l’aimera
Que j’en mourrai de bonheur et de larmes
Mais que nous serons là pas après pas
Que c’est la vie et sa loi
Et que la vie l’appelle que le monde l’attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu’il est beau, que je l’aime, qu’il est ma vie, ma joie
Qu’il est un parmi des millions d’humains
Mais bien l’unique pour moi
Qu’il est beau que je l’aime
Qu’au-delà du mystère
Il est ma plus belle raison de vivre
Ma réponse à l’infini
(Jean-Jacques Goldman)
Quand marcher sans autre but
Plus de passe demain fourbu
Dans le néant du froid de la rue
Quand les mots n’existent plus
Quand l’espérance oubliée, dissolue
Quand les alcools même ne saoûlent plus
Restent les phrases écorchées
De ces phrase qu’on jette avant de renoncer
Les derniers s’ront les premiers
Dans l’autre réalité
Nous serons princes d’éternité
Un billet sur le trottoir
Dans un journal d’autres histoires
Un rayon de soleil au hasard
Une fleur abandonnée
Ce que les autres ont laissé de côté
Plus assez neuf, plus assez
Quand ta place est au-dehors
Ne reste que ces phrases comme île au trésor
Les derniers s’ront les premiers
Dans l’autre réalité
Nous serons princes d’éternité
(Jean-Jacques Goldman)
Vole vole petite aile
Ma douce, mon hirondelle
Va t’en loin, va t’en sereine
Qu’ici rien ne te retienne
Rejoins le ciel et l’éther
Laisse-nous laisse la terre
Quitte manteau de misère
Change d’univers
Vole vole petite soeur
Vole mon ange, ma douleur
Quitte ton corps et nous laisse
Qu’enfin ta souffrance cesse
Va rejoindre l’autre rive
Celle des fleurs et des rires
Celle que tu voulais tant
Ta vie d’enfant
Vole vole mon amour
Puisque le nôtre est trop lourd
Puisque rien ne te soulage
Vole à ton dernier voyage
Lâche tes heures épuisées
Vole, tu l’as pas volé
Deviens souffle, sois colombe
Pour t’envoler
Vole vole petite flamme
Vole mon ange, mon âme
Quitte ta peau de misère
Va retrouver la lumière
(Jean-Jacques Goldman)
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Mais moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
La première fois que je l’ai vu
Je m’suis jetée sur lui dans la rue
J’lui ai seulement dit
Que j’avais envie de lui
Il était quatre heures du matin
J’étais seule et j’avais besoin
De parler à quelqu’un
Il m’a dit: viens prendre un café
Et on s’est raconté nos vies
On a ri, on a pleuré
Ziggy, il s’appelle Ziggy
C’est mon seul ami
Dans sa tête y’a que d’la musique
Il vend des disques dans une boutique
On dirait qu’il vit
Dans une autre galaxie
Tous les soirs, il m’emmène danser
Dans des endroits très très gais
Où il a des tas d’amis
Oui, je sais, il aime les garçons
Je devrais me faire une raison
Essayer de l’oublier… mais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Et moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais.
(Luc Plamondon / M. Berger)
Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m’ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t’aimer une fois pour toutes
Pour t’aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l’amour à mort
Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore
L’amour existe encore…
On n’était pas du même bord
Mais au bout du compte on s’en fout
D’avoir raison ou d’avoir tort
Le monde est mené par des fous
Mon amour il n’en tient qu’à nous
De nous aimer plus fort
Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Aux quatre coins du monde
Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore
L’amour existe encore
L’amour existe encore…
Pour t’aimer une fois pour toutes
Pour t’aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l’amour à mort
Quand je m’endors contre ton corps
Alors je n’ai plus de doute
L’amour existe encore
(Luc Plamondon / R. Cocciante)
Lonely
The path you have chosen
A restless road
No turning back
One day you
Will find your light again
Don’t you know
Don’t let go
Be Strong
Follow your heart
Let your love lead through the darkness
Back to a place you once knew
I believe I believe I believe
In you
Follow your dreams
Be yourself, an angel of kindness
There’s nothing that you can not do
I believe I believe I believe
In you
Tout seul
Tu t’en iras tout seul
Coeur ouvert
A l’univers
Poursuis ta quête
Sans regarder derrière
N’attends pas
Que le jour
Se lève
Suis ton étoile
Va jusqu’où ton rêve t’emporte
Un jour tu le toucheras
Si tu crois si tu crois si tu crois
En toi
Suis ta lumière
N’éteins pas la flamme que tu portes
Au fonds de toi souviens-toi
Que je crois que je crois que je crois
En toi
Someday I’ll find you
Someday you’ll find me to
And when I hold you close
I’ll know that it’s true
(Repeat English chorus)
(J Elofsson / P. Magnusson / D. Kreuger / M. Saggese / L. Plamondon)
L’avenir est planétaire
Y’a six milliards d’humains sur terre
Mais chacun vie sa vit en solitaire
Chacun a ses habitudes
Chacun a ses certitudes
Et l’amour est la pire des solitudes
Quand l’univers m’indiffère
Quand j’ai plus envie de rien faire
Quand ma vie m’endort comme un somnifère
J’ai inventé la formule
Qui vaut mieux que toutes les pilules
Même si ça me donne l’air d’une somnambule
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Que je sois debout dans le métro
Que je sois assise à mon bureau
Tous les jours les mêmes mots
Les mêmes gestes de robot
Y’a d’quoi dev’nir fou
Et vous qu’en pensez-vous?
Y’a vraiment d’quoi dev’nir fou
Mais moi je m’en fou
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Quoi qu’on fasse ou quoi qu’on dise
De partout on nous satellise
On nous épie, on nous informatise
À force de la regarder
Je commence à me demander
Si ma télé ne va pas m’avaler
Dehors les néons s’allument
All right!
J’préfère regarder la lune
All night …
Étendue nue sur mon lit
Dans la chaleur de la nuit
Les sirènes de police
Hurlent comme des loups
Je voudrais comme Alice
Tomber dans un grand trou…
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
(Luc Plamondon / R. Masumarra)
Qu’est-ce qui se passe
Quand on est lasse
Quand le coeur a perdu ses couleurs
Une émotion
Comme une invitation
À chanter sans aucune raison
Tout ça pour un regard ou deux
Un sourire qui tremble un peu
C’est l’amour, c’est l’accident
On sent passer le courant
Refrain:
On traverse un miroir
Malgre la peur d’y croire
On se dit que cette fois-ci
On aime à la folie
Une vie sans histoire
C’est bien pire qu’un trou noir
Sans hésiter, sans savoir
On traverse un miroir
Champagne en trop
Rien n’est trop beau
On a du mal à trouver les mots
On dit tout bas n’importe quoi
Pour étouffer l’envie de crier
On se tait, on reste accroché
Comme deux enfants désespérés
On rêve de partager
Une nuit comme au ciné
Refrain
(I. Minoke / R. Laffond)
J'ai tant besoin de toi
Que j'invente des images
Je joue avec tes yeux
Quand tu n'es pas là
J'éclaire la nuit
Je colore les nuages
Et ton visage
Ne s'efface jamais
Dans les rues de mon coeur
Dans le soleil
Et dans l'ombre
Partout je te vois
Dans le lit de ma main
Dans tous mes rêves
Ici, partout
Je ne vois que toi
Ce que je veux te dire
C'est que le temps serait triste
Oh, si tu t'en allais
Pour plus de quelques heures
C'est parc'que tu m'aimes
Que je vis et que j'existe
Parc'que tu m'aimes
Que je n'ai pas peur
Dans les rues de mon coeur
Dans le soleil
Et dans l'ombre
Partout je te vois
Dans le lit de ma main
Dans tous mes rêves
Ici, partout
Je ne vois que toi
Je ne veux pas
Que quelque chose nous sépare
Je ne veux pas
Que tu te perdes loin de moi
Je ne veux pas
Que quelqu'un d'inconnu
Passe un jour par là
Et te prenne à moi
Dans les rues de mon coeur
Dans le soleil
Et dans l'ombre
Partout je te vois
Dans le lit de ma main
Dans tous mes rêves
Ici, partout
Je te vois...
J'ai besoin de toi
Je ne vis pas
Je ne vois que toi
Je ne suis rien
Sans toi
Je te vois partout
(Eddy Marnay / Aldo Nova)
J’ai du succès dans mes affaires
J’ai du succès dans mes amours
Je change souvent de secrétaire
J’ai mon bureau en haut d’une tour
D’où je vois la ville à l’envers
D’où je contrôle mon univers
J’passe la moitié d’ma vie en l’air
Entre New York et Singapour
Je voyage toujours en première
J’ai ma résidence secondaire
Dans tous les Hilton de la terre
J’peux pas supporter la misère…
J’suis pas heureux mais j’en ai l’air
J’ai perdu le sens de l’humour
Depuis que j’ai le sens des affaires
J’ai réussi et j’en suis fier
Au fond je n’ai qu’un seul regret
J’fais pas c’que j’aurais voulu faire…
J’aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l’avion se pose sur la piste
À Rotterdam ou à Rio
J’aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J’aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie
J’aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleurs
J’aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme… un millionnaire
J’aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir dire pourquoi j’existe
(Luc Plamondon / M. Berger)
Incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
Incognito
Sans dire un mot
Incognito
C’est pas facile de te tourner le dos
M’en aller loin d’ici
M’en aller loin de toi, loin de moi
Loin d’ici une autre vie
Loin de toi, il existe une autre moi
M’en aller dans un pays
Où personne ne saura qui je suis
Solitaire je chercherai
Sur la terre un coin où je t’oublierai
Loin de nous
Loin de tout
Loin du monde où j’étais ta possession
Loin de nous
Loin de tout
J’oublierai ton nom et mon nom
Je m’en irai incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
Incognito
Sans dire un mot
Incognito
C’est pas facile de te tourner le dos
Je m’en vais aujourd’hui
Loin de mes amis, de tes amis
Qui diront ce qu’ils voudront
Dans mon dos
Je n’en saurai pas un mot
Je m’en vais au bout du monde
S’il le faut je m’ferai teindre en blonde
Si jamais tu me revois
J’te promets qu’ tu n’me reconnaîtras pas
Loin de nous
Loin de tout
Loin du monde où j’étais ta possession
Loin de nous
Loin de tout
J’oublierai ton nom et mon nom
Je m’en irai
Incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
Incognito
Sans dire un mot
Sans dire un mot
Pas facile de te tourner le dos
Incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
(Luc Plamondon / J-A. Roussel)
Tu dis qu’ je suis trop jeune
Pour vivre avec un homme
Moi je te dis
Je m’en fous, je m’en fous
I love you
Si tu ne veux pas prendre
L’amour que je te donne
Je pourrais te rendre fou, rendre fou
Jusqu’au bout
Lolita n’est pas trop jeune pour aimer
N’est pas trop jeune pour se donner
Quand le desir dévore son corps
Jusqu’au bout de ses doigts
Jamais trop jeune pour aimer
Jamais trop jeune pour se donner
Mais tu ignores le feu qui dort
Au fond de moi
Toutes ces nuits que j’ai passées
Seule à te caresser
Il faut que tu me les rendes, me les rendes
Une à une
Toutes ces nuits toute seule dans le noir
De ma chambre
À rêver que tu viens me prendre
Me feras-tu encore attendre des jours, des mois
Si tu ne viens pas, ce s’ra un autre
Si ce n’est pas toi, ce s’ra ta faute
Si je regrette toute ma vie
Ma première nuit d’amour
Trop jeune pour aimer
Qu’est-ce que ça veut dire
Lolita répond je m’en fous, je m’en fous
I love you
(Luc Plamondon / D. Lavoie)
Come'on baby, fais-moi une chanson
Réponds au moins au téléphone
Je sais bien que ton occupation
Préférée... c'est d'avoir du fun
Mais moi j'ai besoin de ma chanson
Toutes mes lignes de téléphone sonnent
J'suis bookée à la télévision
Dans tous les shows de promotion
Qu'est-ce que j'vais faire
Si j'ai pas ma chanson
De quoi j'vais avoir l'air?
Allo!
J'leur ai promis un numéro un
J'suis en studio demain matin
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui résonnent
Écris-moi des mots qui donnent
Un sens à ma musique
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui raisonnent
Écris-moi des mots qui cognent
Sur l'accent tonique
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots qui sonnent
J'peux venir te tenir la main
Te faire un double expresso - oh!
Faut qu'tu m'la finisses avant demain
Sinon mon planning tombe à l'eau
Donne-moi au moins l'idée du refrain
Faut que j'tourne une vidéo - oh!
Tu peux parler de tout de rien
Pourvu que j'aie mon scénario
Donne-moi juste un heure
De ton inspiration
Pense à tes droits d'auteur!!!
Oh!oh!
Faut que j'monte au moins jusqu'au Top Ten
Y'faut qu'tu penses AM-FM
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui résonnent
Écris-moi des mots qui donnent
Un sens à ma musique
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui raisonnent
Écris-moi des mots right on
Avec la rythmique
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des lignes
Qui swiguent comm' du Sting
Qui sonnent
Comm' du Jackson
Des mots qui riment
Des mots qui pensent
Et qui balancent
Des mots qui disent
Ce que tu dirais, toi
Si tu avais ma voix
Écris-moi des mots qui dansent
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui résonnent
Écris-moi des mots qui donnent
Un sens à ma musique
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui raisonnent
Écris-moi des mots qui cognent
Sur l'accent tonique
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des mots qui sonnent right on
Y'faut qu'ça fasse un number one
Y faut qu'ce soit l'fun
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots qui sonnent
(Luc Plamondon / Aldo Nova - M. Simon)
Les mots pour consoler les mots pour l’amitié
Ils sont encore plus beaux quand on peut les chanter
C’est un filtre magique
Ce don de la musique
C’est comme un grand cadeau
Que le ciel nous a fait
On a tous un peu la voix du Bon Dieu
Quand on rend les gens heureux
On a le coeur loin du chagrin
Quand on a chante bien
Cette mélodie prise dans la vie
Avec un sourire ou deux
Dès qu’elle nous touche
On entend mieux la voix du Bon Dieu
Je n’aurais jamais cru
Que tant de gens perdus
Se cherchent des amis connus ou inconnus
Moi de toutes les forces que l’avenir me donne
Je veux leur apporter une chanson de plus
On a tous un peu la voix du Bon Dieu
Quand on rend les gens heureux
On a le coeur loin du chagrin
Quand on a chante
On a tous un peu la voix du Bon Dieu
Quand on rend les gens heureux
On a le coeur loin du chagrin
Quand on a chante bien
Cette mélodie prise dans la vie
Avec un sourire ou deux
Dès qu’elle nous touche
On entend mieux la voix du Bon Dieu
(Eddy Marnay / S. Dumont)
Il pense à moi je le vois je le sens je le sais
Et son sourire ne ment pas quand il vient me chercher
Il aime bien me parler des choses qu’il a vues
Du chemin qu’il a fait et de tous ses projets
Je crois pourtant qu’il est seul et qu’il voit d’autres filles
Je ne sais pas ce qu’elles veulent ni les phrases qu’il dit
Je ne sais pas où je suis quelque part dans sa vie
Si je compte aujourd’hui plus qu’une autre pour lui
Il est si près de moi pourtant je ne sais pas comment l’aimer
Lui seul peut décider qu’on se parle d’amour ou d’amitié
Moi je l’aime et je peux lui offrir ma vie
Même s’il ne veut pas de ma vie
Je rêve de ses bras oui mais je ne sais pas comment l’aimer
Il a l’air d’hésiter entre une histoire d’amour ou d’amitié
Et je suis comme une île en plein océan
On dirait que mon coeur est trop grand
Rien à lui dire il sait bien que j’ai tout à donner
Rien qu’à sourire à l’attendre à vouloir le gagner
Mais qu’elles sont tristes les nuits le temps me paraît long
Et je n’ai pas appris à me passer de lui
Il est si près de moi pourtant je ne sais pas comment l’aimer
Lui seul peut décider qu’on se parle d’amour ou d’amitié
Moi je l’aime et je peux lui offrir ma vie
Même s’il ne veut pas de ma vie
Je rêve de ses bras oui mais je ne sais pas comment l’aimer
Il a l’air d’hésiter entre une histoire d’amour ou d’amitié
Et je suis comme une île en plein océan
On dirait que mon coeur est trop grand
(E. Marnay / J-P. Lang / R. Vincente)
Mon ami m’a quittée
Je vous le dit
Ça devait arriver à moi aussi
Je le voyais rêver d’une autre fille depuis longtemps
Mon ami est ailleurs
Je ne sais où
Auprès d’un autre coeur
Et loin de nous
À cueillir d’autres fleurs
Et d’autres rendez-vous
Moi je regarde les vagues
Dont la mer écrase les rochers
Et je voudrais que le calme
Vienne habiter ma solitude
Il m’a quittée
Je vous le dit
Oui c’est arrivé à moi aussi
À force de rêver d’une autre fille depuis longtemps
Mon ami m’a quittée
C’est trop facile
C’est la fin de l’été
Soleil fragile
Les bateaux sont rangés
Pour un meilleur avril
Alors moi je regarde les vagues
Dans mon coeur quelque chose a bougé
Il était tendre et sauvage
Et le voilà qui se raconte
Il m’a quittée
À la fin de l’été
Il m’a quittée
Mon ami m’a quittée
Je vous le dis
Oui c’est arrivé à moi aussi
J’ai fini de rêver du moins pour aujourd’hui
(E. Marnay / C. Loigerot / T.Geoffroy)
Tu m’as ouvert les yeux
Tu as guidé mes jeux
Dis-moi ce que tu veux
Je t’aimerai toujours
Tellement j’ai d’amour pour toi
Toi mon premier sourire
Mon premier souvenir
Toi qui m’a vu grandir
Mes bras sont bien trop courts
Tellement j’ai d’amour pour toi
Ma vie est faite de tes yeux posés sur moi
Et quand plus rien ne va
Je n’ai pas trouvé mieux que le son de ta voix
Toi le puits de sagesse
Mon bâton de jeunesse
Ma source de tendresse
Tu es mon seul recours
Tellement j’ai d’amour pour toi
Et pourtant tu le sais
Un jour je m’en irai
Mais jamais tout à fait
Je reviendrai toujours
Tellement j’ai d’amour pour toi
Je donnerai la vie avec cette chanson
À la petite fille qui portera ton nom
Tellement j’ai d’amour pour toi
Maman j’ai besoin de tes yeux posés sur moi
Tu es ce que je crois
Et ce que j’ai de mieux et accompagne-moi
Il peut couler du temps sur tes cheveux d’argent
Je serai une enfant jusqu’à mon dernier jour
Tellement j’ai d’amour pour toi
J’ai tellement d’amour pour toi
(E. Marnay / H. Giraud)
Si j’écrivais le livre de ma vie
Je parlerais de mon amie Madeleine
Que j’ai vu rire et pleurer à la fois
Un matin en sortant de chez moi
Ce qu’elle a dit
Je ne l’oublierai pas
« Que Dieu bénisse ta maison »
M’a dit Madeleine
Et moi j’ai compris la chance
Que le ciel m’avait donné
De naître où les caresses sentent bon
Si je dois courir le monde
Mes pas me ramèneront
Toujours sur les chemins de ma maison
C’est là que j’ai grandi
Là que l’on m’a aimé
Là que j’ai couru
Là que j’ai chanté
L’odeur du feu de bois
La chaleur du bon pain
Mon dieu mon dieu
Si j’écrivais le livre de ma vie
Il s’ouvrirait avec le coeur
De ceux qui m’aiment
Tous ceux qui aussi veulent faire
En se levant chaque jour
Un monde où les caresses sentent bon
Ceux qui sont dans mes prières
Et tous ceux qui m’attendront
Toujours sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
Sur les chemins de ma maison
(E. Marnay / P. Lemaître / A. Bernard)
Mélanie
Pardonne-moi si je t’appelle ainsi
Mais les chagrins sont des millions
Et je rassemble en un seul nom
Tous les enfants de ma chanson
Les enfants qui sont au bord de la nuit
Les enfants qui ne deviendront jamais forts
Mélanie
Tu pourrais bien me dire que la vie
N’a pas fait de toi sa meilleure amie
Pourtant je te vois qui souris
Mélanie
C’est ton courage qui a fait le mien
Moi qui suis forte à m’émouvoir d’un rien
Je me calme quand je prends ta main
Mélanie
J’aimerais croire que ce prince joli
Qui réveillait en caressant
Toutes les belles au bois dormant
Saurais faire revivre un enfant en musique
En un seul coup de baguette magique
Guérir le mal en un instant
Mélanie
Tu n’es pas seule si je chante pour toi
Tu n’es pas seule si l’on entend ma voix
Tu n’es pas seule le monde est là
Mélanie
Tous les chagrins se font déjà moins lourds
En découvrant qu’on peut aimer un jour
Et c’est toi qui nous apprends l’amour
Mélanie
(E. Marnay / D. Juster)
Une colombe est partie en voyage
Autour du monde elle porte son message
De paix, d’amour et d’amitié
De paix, d’amour à partager
Et c’est sa jeunesse qui la fait voler
Une colombe est partie en voyage
Pour faire chanter partout sur son passage
La paix, l’amour et l’amitié
La paix, l’amour, la vérité
Quand elle ouvre ses ailes
C’est pour la liberté
Elle vole
Elle cherche le soleil
Elle rêve de merveilles
Elle espère arriver
Elle croit
Qu’il y a quelque part
Un pays pour l’espoir
Et qu’elle pourra le voir
Une colombe est partie en voyage
Autour du monde elle porte son message
De paix, d’amour et d’amitié
De paix, d’amour à partager
Et c’est sa jeunesse qui la fait voler
Une colombe est partie en voyage
Pour faire chanter partout sur son passage
La paix, l’amour et l’amitié
La paix, l’amour la vérité
Quand elle ouvre ses ailes
C’est pour la liberté
Une colombe est partie en voyage
Autour du monde elle porte son message
De paix, d’amour et d’amitié
De paix, d’amour à partager
Et c’est sa jeunesse qui la fait voler
Et c’est sa jeunesse qui la fait voler
(Marcel Lefebvre/Paul Baillargeon)
La vie vient du palier
Le vent vient de la cour
Ma chambre est habitée
Par des secrets d’amour
À la tête du lit
Deux tables de chevet
Une avec un cahier
L’autre avec un carnet d’amour
D’amour
Un cahier d’écolier
Un carnet des amours
La vie vient du palier
Le vent vient de la cour
Une table à dessin
Un peignoir rouge et noir
Charlie Brown et Tintin
Un meuble à trois tiroirs d’amour
D’amour
Les bagues et les photos
Dans le tiroir d’en haut
Des adieux douloureux
Dans celui du milieu
Quand ma chambre s’éteint
Et se rallume ailleurs
J’entends mes robes à fleurs
Des bouts et des ravins d’amour
D’amour
Et les fermoirs de collier
Les souliers de Lanvin
Je les entends parler
Quand ma chambre s’éteint
Je reviendrai toujours, toujours, toujours, toujours
La vie vient de la cour
Toujours, toujours, toujours
Le vent vient de mon amour
Les rideaux sont en soie au Waldorf Astoria
La chasse est en argent à l’Hôtel Saint-Amant
Ma chambre est en papier
Les murs sont en amour
Les plus beaux d’un côté
De l’autre les plus lourds d’amour
D’amour
La vie vient du palier
Le vent vient de la cour
Ma chambre est habitée
Par des secrets d’amour
Qui commencent à l’école
Et se rendent ce soir
Coucher dans des gondoles
Et des boîtes à mouchoirs d’amour
D’amour
Moi quand j’ai besoin de vous
C’est ici que je viens
À la pêche aux bisous
À la chasse aux câlins
Je reviendrai toujours, toujours, toujours, toujours
La vie vient de la cour
Toujours, toujours, toujours
Le vent vient de mon amour
Je reviendrai toujours, toujours, toujours
Parler à mes amours
Toujours, toujours, toujours
Le vent vient de mon amour
(J.P. Ferland / D. Mercure)
Vous qui cherchez l'étoile
Vous qui vivez un rêve
Vous héros de l'espace
Au coeur plus grand que la terre
Vous donnez moi ma chance
Emmenez-moi loin d'ici
Ne partez pas sans moi laissez-moi vous suivre
Vous qui volez vers d'autres vies laissez-moi vivre
La plus belle aventure les plus beaux voyages
Qui mènent un jour sur des soleils sur des planètes d'amour
Vous les nouveaux poètes
Vous les oiseaux magiques
Vous vous allez peut-être trouver
De nouvelles musiques
Vous donnez-moi ma chance
Je veux chanter moi aussi
Ne partez pas sans moi laissez-moi vous suivre
Vous qui volez vers d'autres vies laissez-moi vivre
Le bleu de l'infini la joie d'être libre
Sur des rayons sur des soleils
Sur des chansons sur des merveilles
Et dans un ciel d'amour
Le bleu de l'infini la joie d'être libre
Vous qui cherchez une autre vie
Vous qui volez vers l'an 2 000
Ne partez pas sans moi
(N. Martinetti / A. Sereftug)
Si tu t’en vas
Tout sera vieux
Et la Terre vivra sans nous
Je crois en toi
Et j’aimerais mieux
Qu’elle tourne avec nous
Fais ce que tu voudras
Fais ce que tu veux
Mais reste ici
Fais le chaud et le froid
Et si tu me laisses un peu de pluie
J’ai mon amour qui fait soleil
Je dors avec toi
Même si tu n’es pas là
Tu es mon rêve unique
Mon seul pays
Et mon seul ami
Et mon amour en musique
Fais ce que tu voudras
Fais ce que tu veux
Mais reste ici
Fais le chaud et le froid
Et si tu me laisses un peu de pluie
J’ai mon amour qui fait soleil
S’il faut se battre
Je me battrai aussi
Je jouerai ma vie
Ma dernière carte pour te garder
Fais ce que tu voudras
Fais ce que tu veux
Mais reste ici
Fais ton jouet de moi
Et si tu me laisses un peu de pluie
Mon amour changera mes nuits en soleil
(E. Marnay / R. Grignon)
Quand on n’a que l’amour
À s’offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu’est notre grand amour
Quand on n’a que l’amour
Mon amour toi et moi
Pour qu’éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour
Quand on n’a que l’amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d’y croire toujours
Quand on n’a que l’amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs
Quand on n’a que l’amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours
Quand on n’a que l’amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours
Quand on n’a que l’amour
À offrir en prière
Pour les maux de la terre
En simple troubadour
Quand on n’a que l’amour
À offrir à ceux-là
Dont l’unique combat
Est de chercher le jour
Quand on n’a que l’amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
À chaque carrefour
Quand on n’a que l’amour
Pour parler aux canons
Et rien qu’une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien
Que la force d’aimer
Nous aurons dans nos mains
Amis le monde entier
(J. Brel)
Dans un grand jardin enchanté
Tout à coup je me suis retrouvée
Une harpe des violons jouaient
Des anges au ciel me souriaient
Le vent faisait chanter l’été
Je marchais d’un pas si léger
Sur un tapis aux pétales de roses
Une colombe sur mon épaule
Dans chaque main une hirondelle
Des papillons couleurs pastel
Ce n’était qu’un rêve
Ce n’était qu’un rêve
Mais si beau qu’il était vrai
Comme un jour qui se lève
Ce n’était qu’un rêve
Un sourire sur mes lèvres
Un sourire que j’ai gardé
Au-delà de mon rêve
Le soleil et ses rayons d’or
Les fleurs dansaient sur un même accord
Des chevaux blancs avec des ailes
Semblaient vouloir toucher le ciel
Vraiment j’étais au pays des fées
Ce n’était qu’un rêve
Ce n’était qu’un rêve
Mais si beau qu’il était vrai
Comme un jour qui se lève
Ce n’était qu’un rêve
Un sourire sur mes lèvres
Un sourire que j’ai gardé
Au-delà de mon rêve
Ce n’était qu’un rêve
(T. Dion / J. Dion / C. Dion)