Le DVD/CD « Tournée mondiale Taking Chances : Le spectacle » permet de revivre la tournée de tous les records de Céline à travers le monde. Entourée de ses musiciens et de ses danseurs, elle chante ses plus grands succès sur scène. De son énergique titre d’ouverture « I Drove All Night » à sa douce et classique balade « Pour que tu m’aimes encore » pour sa grande finale, c’est le concert-événement que l’on souhaite regarder et écouter encore et encore. Pendant 80 minutes, Céline offre 25 incroyables performances. Le DVD et le CD audio ont été enregistrés lors des concerts de Montréal et Boston en août 2008. Ce DVD/CD montre, une fois de plus, que Céline est une véritable bête de scène – elle se livre entièrement sur scène pour son public.
Configuration:
Disque 1 (DVD)
Disque 2 (CD)
I had to escape, the city was sticky and cruel
Maybe I should have called you first, but I was dying
to get to you
I was dreaming while I drove the long, straight road ahead…uh-huh, yeah
Could taste your sweet kisses, your arms open wide
This fever for you was just burning me up inside
I drove all night to get to you
Is that all right?
I drove all night, crept in your room
Woke you from your sleep to make love to you
Is that all right?
I drove all night
What in this world keeps us from falling apart?
No matter where I go I hear the beating of our one heart
I think about you when the night is cold and dark…
uh-huh, yeah
No one can move me the way that you do
Nothing erases this feeling between me and you
I drove all night to get to you
Is that all right?
I drove all night, crept in your room
Woke you from your sleep to make love to you
Is that all right?
I drove all night
I taste your sweet kisses, your arms open wide
This fever for you was just burning me up inside
I drove all night to get to you
Is that all right?
I drove all night, crept in your room
Woke you from your sleep to make love to you
Is that all right?
I drove all night
(Billy Steinberg / Tom Kelly)
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Va pour tes forêts tes loups tes gratte-ciel
Va pour les torrents tes neiges éternelles
J’habite où tes yeux brillent où ton sang coule
Où des bras me serrent
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Je veux des cocotiers des plages
Et des palmiers sous le vent
Le feu du soleil au visage
Et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages
Et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants
Va pour tes cocotiers tes rivages
Va pour tes lagons tout bleu balançant
J’habite où l’amour est un village
Là où l’on m’attend
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras, qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d’ici
L’escampette et la poudre et la fille de l’air
Montre-moi tes édens montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes zestes d’ouest
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Qu’importe j’irai où bon te semble
J’aime tes envies j’aime ta lumière
Tous les paysages te ressemblent
Quand tu les éclaires
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
(Jean-Jacques Goldman)
Y’a pas de voiles aux volets de mes frères
Y’a pas d’opale autour de mes doigts
Ni cathédrale où cacher mes prières
Juste un peu d’or autour de ma voix
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Des feux d’été je vole aux sombres hivers
Des pluies d’automne aux étés indiens
Terres gelées aux plus arides déserts
Je vais je viens, ce monde est le mien
Je vis de notes et je vis de lumière
Je virevolte à vos cris, vos mains
La vie m’emporte au creux de tous ses mystères
Je vois dans vos yeux mes lendemains
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Je prends le blues aux signaux des répondeurs
Je prends la peine aux aéroports
Je vis l’amour à des kilomètres ailleurs
Et le bonheur à mon téléphone
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
(Jean-Jacques Goldman)
Don’t know much about your life
Don’t know much about your world but
Don’t want to be alone tonight
On this planet they call earth
You don’t know about my past and
I don’t have the future figured out
And maybe this is going too fast
And maybe it’s not meant to last,
But what do you say to taking chances
What do you say to jumping off the edge
Never knowing if there’s solid ground below
Or a hand to hold
Or hell to pay
What do you say
What do you say
I just wanna start again
Maybe you could show me how to try
Maybe you could take me in
Somewhere underneath your skin
What do you say to taking chances
What do you say to jumping off the edge
Never knowing if there’s solid ground below
Or a hand to hold
Or hell to pay
What do you say
What do you say
And I’ve had my heart beaten down
But I always come back for more, yeah
There’s nothing like love to pull you up
When you’re lying down on the floor there,
So talk to me, talk to me like lovers do
Yeah walk with me, walk with me like lovers do
Like lovers do
What do you say to taking chances
What do you say to jumping off the edge
Never knowing if there’s solid ground below
Or a hand to hold
Or hell to pay
What do you say
What do you say
Don’t know much about your life
Don’t know much about your world
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m'ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore...
On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout
D'avoir raison ou d'avoir tort
Le monde est mené par des fous
Mon amour il n'en tient qu'à nous
De nous aimer plus fort
Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Aux quatre coins du monde
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore
L'amour existe encore...
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
When I was young
I never needed anyone
And making love was just for fun
Those days are gone
Livin’ alone
I think of all the friends I’ve known
When I dial the telephone
Nobody’s home
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
Hard to be sure
Sometimes I feel so insecure
And loves so distant and obscure
Remains the cure
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
All by myself
Don’t wanna live
All by myself
Anymore
When I was young
I never needed anyone
Making love was just for fun
Those days are gone
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
All by myself
Don’t wanna live
Oh
Don’t wanna live
By myself, by myself
Anymore
By myself
Anymore
Oh
All by myself
Don’t wanna live
I never, never, never
Needed anyone
Détourner des rivières, porter des poids
Traverser des mers, je saurais faire
Défier des machines, narguer des lois
Les foudres divines, ça m'effraie pas
J'sais prendre un coup, le rendre aussi
River des clous, ça j'ai appris
J'suis pas victime, j'suis pas colombe
Et pour qu'on m'abîme, faut qu'je tombe
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je savais le silence depuis longtemps
J'en sais la violence, son goût de sang
Rouges colères, sombres douleurs
Je sais ces guerres, j'en ai pas peur
Je sais me défendre, j'ai bien appris
On est pas des tendres par ici
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Lutte après lutte, pire après pire
Chaque minute, j'ai cru tenir
J'voudrais apprendre jour après jour
Mais qui commande à nos amours?
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je sais pas
Je sais pas
(Jean-Jacques Goldman/J. Kapler)
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon coeur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les coeurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer
I hear the ticking of the clock
I’m lying here the room’s pitch dark
I wonder where you are tonight
No answer on the telephone
And the night goes by so very slow
Oh I hope that it won’t end though
Alone
Till now I always got by on my own
I never really cared until I met you
And now it chills me to the bone
How do I get you alone
How do I get you alone
You don’t know how long I have wanted
To touch your lips and hold you tight, oh
You don’t know how long I have waited
And I was going to tell you tonight
But the secret is still my own
And my love for you is still unknown
Alone
Till now I always got by on my own
I never really cared until I met you
And now it chills me to the bone
How do I get you alone
How do I get you alone
How do I get you alone
How do I get you alone
Alone
Alone
Written by Billy Steinberg / Thomas Kelly
(Sex Machine, Soul Man, Lady Marmalade, Sir Duke, Respect, I Got The Feelin´, I Got You (I Feel Good), It´s A Man´s Man´s Man´s World)
When I was a little girl
I had a rag doll
Only doll I’ve ever owned
Now I love you just the way I loved that rag doll
But only now my love has grown
And it gets stronger, in every way
And it gets deeper, let me say
And it gets higher, day by day
And do I love you my oh my
Yeh river deep mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
When you were a young boy
Did you have a puppy
That always followed you around
Well I’m gonna be as faithful as that puppy
No I’ll never let you down
Cause it grows stronger, like a river flows
And it gets bigger baby, and heaven knows
And it gets sweeter baby, as it grows
And do I love you my oh my
Yeh river deep, mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
I love you baby like a flower loves the spring
And I love you baby just like Tina loves to sing
And I love you baby like a school boy loves his pet
And I love you baby, river deep mountain high
Oh yeah you’ve gotta believe me
River Deep, Mountain High
Do I love you my oh my, oh baby
River deep, mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
Every night in my dreams
I see you, I feel you,
That is how I know you go on
Far across the distance
And spaces between us
You have come to show you go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you’re here in my heart
And my heart will go on and on
Love can touch us one time
And last for a lifetime
And never let go till we’re one
Love was when I loved you
One true time I hold to
In my life we’ll always go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you’re here in my heart
And my heart will go on and on
There is some love that will not go away
You’re here, there’s nothing I fear,
And I know that my heart will go on
We’ll stay forever this way
You are safe in my heart
And my heart will go on and on
(James Horner/Will Jennings)
J’ai compris tous les mots, j’ai bien compris, merci
Raisonnable et nouveau, c’est ainsi par ici
Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
Que le temps d’avant, c’était le temps d’avant
Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent
Il faut que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Fallait pas commencer m’attirer me toucher
Fallait pas tant donner moi je sais pas jouer
On me dit qu’aujourd’hui, on me dit que les autres font ainsi
Je ne suis pas les autres
Avant que l’on s’attache, avant que l’on se gâche
Je veux que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
Je ferai nos bagages pour d’infinies vendanges
Les formules magiques des marabouts d’Afrique
J’les dirai sans remords pour que tu m’aimes encore
Je m’inventerai reine pour que tu me retiennes
Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
Vos jeux seront les nôtres si tel est ton désir
Plus brillante plus belle pour une autre étincelle
Je me changerai en or pour que tu m’aimes encore.
(Jean-Jacques Goldman)
I had to escape, the city was sticky and cruel
Maybe I should have called you first, but I was dying
to get to you
I was dreaming while I drove the long, straight road ahead…uh-huh, yeah
Could taste your sweet kisses, your arms open wide
This fever for you was just burning me up inside
I drove all night to get to you
Is that all right?
I drove all night, crept in your room
Woke you from your sleep to make love to you
Is that all right?
I drove all night
What in this world keeps us from falling apart?
No matter where I go I hear the beating of our one heart
I think about you when the night is cold and dark…
uh-huh, yeah
No one can move me the way that you do
Nothing erases this feeling between me and you
I drove all night to get to you
Is that all right?
I drove all night, crept in your room
Woke you from your sleep to make love to you
Is that all right?
I drove all night
I taste your sweet kisses, your arms open wide
This fever for you was just burning me up inside
I drove all night to get to you
Is that all right?
I drove all night, crept in your room
Woke you from your sleep to make love to you
Is that all right?
I drove all night
(Billy Steinberg / Tom Kelly)
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Va pour tes forêts tes loups tes gratte-ciel
Va pour les torrents tes neiges éternelles
J’habite où tes yeux brillent où ton sang coule
Où des bras me serrent
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Je veux des cocotiers des plages
Et des palmiers sous le vent
Le feu du soleil au visage
Et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages
Et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants
Va pour tes cocotiers tes rivages
Va pour tes lagons tout bleu balançant
J’habite où l’amour est un village
Là où l’on m’attend
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras, qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d’ici
L’escampette et la poudre et la fille de l’air
Montre-moi tes édens montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes zestes d’ouest
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Qu’importe j’irai où bon te semble
J’aime tes envies j’aime ta lumière
Tous les paysages te ressemblent
Quand tu les éclaires
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
(Jean-Jacques Goldman)
Y’a pas de voiles aux volets de mes frères
Y’a pas d’opale autour de mes doigts
Ni cathédrale où cacher mes prières
Juste un peu d’or autour de ma voix
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Des feux d’été je vole aux sombres hivers
Des pluies d’automne aux étés indiens
Terres gelées aux plus arides déserts
Je vais je viens, ce monde est le mien
Je vis de notes et je vis de lumière
Je virevolte à vos cris, vos mains
La vie m’emporte au creux de tous ses mystères
Je vois dans vos yeux mes lendemains
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Je prends le blues aux signaux des répondeurs
Je prends la peine aux aéroports
Je vis l’amour à des kilomètres ailleurs
Et le bonheur à mon téléphone
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
(Jean-Jacques Goldman)
Don’t know much about your life
Don’t know much about your world but
Don’t want to be alone tonight
On this planet they call earth
You don’t know about my past and
I don’t have the future figured out
And maybe this is going too fast
And maybe it’s not meant to last,
But what do you say to taking chances
What do you say to jumping off the edge
Never knowing if there’s solid ground below
Or a hand to hold
Or hell to pay
What do you say
What do you say
I just wanna start again
Maybe you could show me how to try
Maybe you could take me in
Somewhere underneath your skin
What do you say to taking chances
What do you say to jumping off the edge
Never knowing if there’s solid ground below
Or a hand to hold
Or hell to pay
What do you say
What do you say
And I’ve had my heart beaten down
But I always come back for more, yeah
There’s nothing like love to pull you up
When you’re lying down on the floor there,
So talk to me, talk to me like lovers do
Yeah walk with me, walk with me like lovers do
Like lovers do
What do you say to taking chances
What do you say to jumping off the edge
Never knowing if there’s solid ground below
Or a hand to hold
Or hell to pay
What do you say
What do you say
Don’t know much about your life
Don’t know much about your world
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m'ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore...
On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout
D'avoir raison ou d'avoir tort
Le monde est mené par des fous
Mon amour il n'en tient qu'à nous
De nous aimer plus fort
Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Aux quatre coins du monde
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore
L'amour existe encore...
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
When I was young
I never needed anyone
And making love was just for fun
Those days are gone
Livin’ alone
I think of all the friends I’ve known
When I dial the telephone
Nobody’s home
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
Hard to be sure
Sometimes I feel so insecure
And loves so distant and obscure
Remains the cure
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
All by myself
Don’t wanna live
All by myself
Anymore
When I was young
I never needed anyone
Making love was just for fun
Those days are gone
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
All by myself
Don’t wanna live
Oh
Don’t wanna live
By myself, by myself
Anymore
By myself
Anymore
Oh
All by myself
Don’t wanna live
I never, never, never
Needed anyone
Détourner des rivières, porter des poids
Traverser des mers, je saurais faire
Défier des machines, narguer des lois
Les foudres divines, ça m'effraie pas
J'sais prendre un coup, le rendre aussi
River des clous, ça j'ai appris
J'suis pas victime, j'suis pas colombe
Et pour qu'on m'abîme, faut qu'je tombe
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je savais le silence depuis longtemps
J'en sais la violence, son goût de sang
Rouges colères, sombres douleurs
Je sais ces guerres, j'en ai pas peur
Je sais me défendre, j'ai bien appris
On est pas des tendres par ici
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Lutte après lutte, pire après pire
Chaque minute, j'ai cru tenir
J'voudrais apprendre jour après jour
Mais qui commande à nos amours?
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je sais pas
Je sais pas
(Jean-Jacques Goldman/J. Kapler)
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l’imagine habitant mon décor
J’aurais tant à lui dire si j’avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu’on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j’offrirais mon âme, mon coeur et tout mon temps
Mais j’ai beau tout donner, tout n’est pas suffisant
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J’ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d’autres ont versées
La vie n’est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l’enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j’entends battre tous les coeurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on changeait les choses un peu, rien qu’en aimant donner
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Si l’on pouvait changer les choses et tout recommencer
S’il suffisait qu’on s’aime, s’il suffisait d’aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S’il suffisait d’aimer
I hear the ticking of the clock
I’m lying here the room’s pitch dark
I wonder where you are tonight
No answer on the telephone
And the night goes by so very slow
Oh I hope that it won’t end though
Alone
Till now I always got by on my own
I never really cared until I met you
And now it chills me to the bone
How do I get you alone
How do I get you alone
You don’t know how long I have wanted
To touch your lips and hold you tight, oh
You don’t know how long I have waited
And I was going to tell you tonight
But the secret is still my own
And my love for you is still unknown
Alone
Till now I always got by on my own
I never really cared until I met you
And now it chills me to the bone
How do I get you alone
How do I get you alone
How do I get you alone
How do I get you alone
Alone
Alone
Written by Billy Steinberg / Thomas Kelly
When I was a little girl
I had a rag doll
Only doll I’ve ever owned
Now I love you just the way I loved that rag doll
But only now my love has grown
And it gets stronger, in every way
And it gets deeper, let me say
And it gets higher, day by day
And do I love you my oh my
Yeh river deep mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
When you were a young boy
Did you have a puppy
That always followed you around
Well I’m gonna be as faithful as that puppy
No I’ll never let you down
Cause it grows stronger, like a river flows
And it gets bigger baby, and heaven knows
And it gets sweeter baby, as it grows
And do I love you my oh my
Yeh river deep, mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
I love you baby like a flower loves the spring
And I love you baby just like Tina loves to sing
And I love you baby like a school boy loves his pet
And I love you baby, river deep mountain high
Oh yeah you’ve gotta believe me
River Deep, Mountain High
Do I love you my oh my, oh baby
River deep, mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
Every night in my dreams
I see you, I feel you,
That is how I know you go on
Far across the distance
And spaces between us
You have come to show you go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you’re here in my heart
And my heart will go on and on
Love can touch us one time
And last for a lifetime
And never let go till we’re one
Love was when I loved you
One true time I hold to
In my life we’ll always go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you’re here in my heart
And my heart will go on and on
There is some love that will not go away
You’re here, there’s nothing I fear,
And I know that my heart will go on
We’ll stay forever this way
You are safe in my heart
And my heart will go on and on
(James Horner/Will Jennings)
J’ai compris tous les mots, j’ai bien compris, merci
Raisonnable et nouveau, c’est ainsi par ici
Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
Que le temps d’avant, c’était le temps d’avant
Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent
Il faut que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Fallait pas commencer m’attirer me toucher
Fallait pas tant donner moi je sais pas jouer
On me dit qu’aujourd’hui, on me dit que les autres font ainsi
Je ne suis pas les autres
Avant que l’on s’attache, avant que l’on se gâche
Je veux que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
Je ferai nos bagages pour d’infinies vendanges
Les formules magiques des marabouts d’Afrique
J’les dirai sans remords pour que tu m’aimes encore
Je m’inventerai reine pour que tu me retiennes
Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
Vos jeux seront les nôtres si tel est ton désir
Plus brillante plus belle pour une autre étincelle
Je me changerai en or pour que tu m’aimes encore.
(Jean-Jacques Goldman)