‘D’elles’ is concept project that celebrates womanhood. The lyrics for all thirteen songs were written by influential female authors from France and Quebec including: Françoise Dorin, Christine Orban, Nina Bouraoui, Marie Laberge, Lise Payette, Denise Bombardier, Nathalie Nechtschein, Jovette Alice Bernier, Janette Bertrand and George Sand. Celine’s long-time friend and collaborator Jean-Jacques Goldman acted as music supervisor with songs composed by Jacques Veneruso, David Gategno, Erick Benzi, Gildas Arzel, Marc Dupré and Jean-François Breau.
This powerful work that centres around the theme of ‘Woman’ has been released in three formats:
Double Digipack (includes CD, “making of” DVD titled ‘Céline parle D’elle(s),’ a booklet of Celine photos, and a booklet including song lyrics and Celine’s personal notes about each song)
Collector’s Edition (includes CD, “making of” DVD titled ‘Céline parle D’elle(s),’ a mini-booklet of Celine photos and her personal notes about each song, a mini-booklet with song lyrics, and 4 glossy postcards)
S'il n'en restait qu'une
Pour jouer son bonheur
Et miser sa fortune
Sur le rouge du coeur
Pour accepter les larmes
Accepter nuit et jour
De se livrer sans armes
Aux griffes de l'amour
S'il n'en restait qu'une
À n'être pas blasée
Et pleurer pour deux thunes
Sur un vieux canapé
Oui s'il n'en restait qu'une
Pour l'amour cinéma
Oui s'il n'en restait qu'une
Je serais celle-là
S'il n'en restait qu'une
Pour aller bravement
Rêver au clair de lune
Aux bras de son amant
Et pour avoir l'audace
De confier en été
À l'étoile, qui passe
Des voeux d'éternité
S'il n'en restait qu'une
Pour bêtement tracer
Sur le sable des dunes
Deux coeurs entrelacés
Oui s'il n'en restait qu'une
Pour l'amour grand format
Oui s'il n'en restait qu'une
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour oser affirmer
Qu'il n'est pire infortune
Que de ne pas aimer
De suivre au bout du monde
Sans question sans contrat
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour envier le manège
Pour les uns et les unes
Et puis toujours se piègent
Pour envier leurs folies
Leurs excès, leurs tracas
Je serais celle-là
Je serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une
Pour chercher sans pudeur
Une épaule opportune
Où cacher son bonheur
Et s'il n'en restait qu'une
Pour l'amour à tout va
Oui s'il n'en restait qu'une
Je serais celle-là
(Françoise Dorin / David Gategno)
J’ai vu l’Oural, le Sahara,
Les nuits fauves d’une Reine de Saba
J’ai vu la terre quelques orages
Les océans et ses naufrages
J’ai vu la foule et les silences
Les feux de joie et la souffrance
J’ai vu les roses sous la neige
Et les grands loups blanc pris au piège
J’ai vu tomber la pluie d’été
Les amants qui restent sur le quai
Mais ce qui m’étonne tu sais
C’est tout l’éclat de nos baisers
Tous les désirs, tous les sursauts
Comme des étoiles sur ta peau
Comme l’immensité
J’ai vu les anges et les démons
Les yeux baissés et les sermons
J’ai vu les ombres et la lumière
D’une femme seule et guerrière
J’ai vu les flots et les rochers
Les révélations, les secrets
J’ai vu les vastes Amériques
Et tous les mirages de l’Afrique
J’ai vu l’azur et les glaciers
Se confondre et puis se briser
Mais ce qui m’étonne tu sais
C’est tout l’éclat de nos baisers
Tous les désirs, tous les sursauts
Comme des étoiles sur ta peau
Comme l’immensité
J’ai vu l’enfance et l’ivresse
La vie qui sourit, la tristesse
La misère de mon insensé
J’ai vu des hommes tomber
Et sous mes yeux se relever
J’ai vu le froid et la transe
Le rire de notre fils qui danse
J’ai reconnu ses yeux dorés
Oh comme il te ressemblait
J’ai vu les Lys, les Orchidées
Cachés dans mon jardin secret
Mais ce qui me renverse tu sais
C’est tout l’éclat de tes baisers
Tous les désirs, tous les sursauts
Comme des étoiles sur ma peau
Comme l’immensité
Comme la douceur de tes baisers
Tous les désirs, tous les sursauts
Comme des étoiles sur ma peau
Comme l’immensité
(Nina Bouraoui / Jacques Veneruso)
On s’est aimé à cause
A cause de la vie
A cause des grands rêves
Que nous avions bâtis
Autour d’Adam et d’Eve
Et de leurs paradis
On s’est aimé à cause
A cause d’un instant
A cause d’une ambiance
D’un lieu et d’un moment
Et des lambeaux d’enfance
Collés à nos vingt ans
On s’est aimé à cause… à cause…
Mais aujourd’hui tant de choses ont changé
On s’est aimé à cause… à cause…
Et maintenant, il faut s’aimer malgré
Il faut s’aimer malgré,
Malgré le temps perdu
Malgré tous les grands rêves
Dont on n’est revenu
Comme Adam et comme Eve
Du paradis perdu
Il faut s’aimer malgré,
Même malgré le pire
Malgré les stratagèmes
De nos corps sans désir
Malgré tous nos problèmes
Malgré nos souvenirs
On s’est aimé à cause… à cause…
Mais aujourd’hui tant de choses ont changé
On s’est aimé à cause… à cause…
Et maintenant, il faut s’aimer malgré
Il faut s’aimer malgré, malgré beaucoup de choses
Mais maintenant, vois-tu, on ne peut ignorer
Que l’amour se transforme et son apothéose…
C’est quand on aime à cause…
A cause des « malgré » !
On s’est aimé à cause… à cause…
Et maintenant, il faut s’aimer malgré
Mais aujourd’hui tant de choses ont changé
On s’est aimé à cause… à cause…
Oui maintenant, il faut s’aimer malgré
(Françoise Dorin / Jacques Veneruso)
Je cherche l’ombre
Pour danser avec toi
Mon amour
Sur ces musiques anciennes
Qui reviennent en mémoire
Quand le soleil s’éteint
Et que revient le soir
Je cherche l’ombre
Pour nous mettre à l’abri
Mon amour
Pour découvrir ton corps
Loin de toute lumière
Et pour t’aimer encore
Comme une étrangère
Je cherche l’ombre
Pour éteindre le feu
Mon amour
Qui dévore mon âme
Et brûle dans mes veines
De ce désir infâme
Qui en moi se déchaîne
Je cherche l’ombre
Pour pleurer avec toi
Mon amour
Sur cette vie trop courte
Qui file entre nos doigts
Et qui mange les jours
En m’éloignant de toi
Je cherche l’ombre
Je cherche l’ombre
Comme on cherche un ami
Mon amour
Qui nous prendra la main
Sans larmes, sans chagrin
Pour nous conduire ailleurs
Cacher notre bonheur
Cacher notre bonheur
Je cherche l’ombre
Je cherche l’ombre
Je cherche l’ombre
(Lise Payette / Jacques Veneruso)
Sous mes yeux, les sables d’argent
Près de moi, quelqu’un qui te ressemble tant
Comme un voyage au coeur de soi
La nuit de Lynch se ferme sur moi
Mes paradis sont pleins de toi
Mes paradis sont pleins de toi
C’est une voix qui appelle
C’est un corps étranger
Un nouveau monde ou je me noie
Lire entre les lignes, doubler ses pas
Mes paradis sont loin de moi
Mes paradis sont loin de moi
Partir n’est pas quitter
Le premier amour est le dernier
Mes paradis ne sont pas sur terre
Je veux retrouver la lumière
Croire à ce qui est
Croire à ce qui n’est pas
Mes jours fragiles sont infinis
La vie m’a tout appris
Mes paradis ne sont pas d’ici
Mes paradis ne sont pas d’ici
Partir n’est pas quitter
Le premier amour est le dernier
Mes paradis ne sont pas sur terre
Je suis comme un soldat qui espère
Mes paradis ne sont pas sur terre
Je veux retrouver la lumière
Le fil de nos yeux
Ce silence qu’on entendait à deux.
C’est toute ta force, qui me serre
Je roule vers Mulholland, après la mer
Mes paradis ne sont pas sur terre
Mes paradis
Mes paradis ne sont pas sur terre
Mes paradis ne sont pas sur terre…
(Nina Bouraoui / Gildas Arzel)
La nuit quand je m’éveille
Dans mon désert de gloire,
Je songe très souvent à la diva en noir,
Celle qu’on adorait et qui se détestait,
La femme dont la voix résonne à tout jamais.
Tous les bravos du monde
N’ont pas pu secourir
Maria la magnifique qui s’est laissé mourir.
J’avoue que certains soirs quand la foule applaudit,
C’est celle à qui je pense, à qui je dis merci.
Les jours où je ne sais plus
Si je suis triste ou gaie,
Quand j’ai peur tout à coup de ne plus pouvoir chanter,
L’amour que je reçois si fort et si intense,
Elle l’aura ignoré dans sa désespérance.
Tous les bravos du monde
N’ont pas pu secourir
Maria la magnifique qui n’a su que souffrir.
J’avoue que certains soirs quand je suis sur la scène,
J’aimerais que ma voix se confonde à la sienne.
Il faut avoir gravi les sommets désertés
Pour sentir la douleur de cette mal-aimée
Et pour avoir chanté jusqu’au bout de mon âme,
Je me suis reconnue à travers cette femme
Et je ne suis plus seule dans mes nuits d’insomnie
Quand je songe parfois à ce que fut ma vie.
Tous les bravos du monde
N’ont pas pu apaiser
Maria la magnifique, la diva écorchée.
Quand je fuis les lumières la nuit à Las Vegas
Surgit dans le désert l’ombre de la Callas.
(Denise Bombardier / Erick Benzi)
Je voudrais saisir dans mes mains
Tous ces parfums qui se confondent,
Tous ces échos qui se répondent
Et qui ne seront plus demain.
Je voudrais presser sur ma bouche
L’enivrante moiteur du soir
A qui je souris sans la voir,
La brise qui passe et me touche.
Retenir dans mes bras, la nuit
Indolente et voluptueuse,
La nuit complice et chuchoteuse
Qui me poursuit et me séduit
Avec ses yeux de clair de lune,
Où je vois le rêve passer
Et l’humain désir se presser…
La nuit, femme comme chacune.
Femme comme chacune.
Savoir où se couche le vent
Et partir pour l’aller surprendre
Dans quelque vallon d’herbe tendre
Où les mousses font un divan.
Ah ! voir la couleur du silence
S’il est plus profond qu’il n’est grand ;
Voir les tons apaisés qu’il prend
Avec ses multiples nuances.
Retenir dans mes bras, la nuit
Indolente et voluptueuse,
La nuit complice et chuchoteuse
Qui me poursuit et me séduit
Avec ses yeux de clair de lune,
Où je vois le rêve passer
Et l’humain désir se presser…
La nuit, femme comme chacune.
Femme comme chacune.
La nuit, femme comme chacune.
(Jovette Alice Bernier / Erick Benzi)
Si j’étais quelqu’un
Mon esprit serait roi
Comme les autres
Je regarderais passer un train
Si j’étais quelqu’un
Je partirais loin dans la vie
Je partirais loin dans la vie
Si j’étais quelqu’un
Je rirais souvent
Comme les autres
Je penserais à toi.
Si j’étais quelqu’un
L’amour me jouerait des tours
Mon regard s’étonnerait
A ton bonheur fou
La bise soufflera dans les arbres en fleurs
Les anges sauteront en folie
Comme pour attraper des coeurs
Suspendus à l’échelle de l’infini.
Oh Si j’étais quelqu’un
Si j’étais quelqu’un
Si j’étais quelqu’un
Je serais dans un nuage
Comme les autres
Je dormirais comme un sage
Si j’étais quelqu’un
Noir ou Blanc
Comme les autres
Je serais comme toi.
Je redécouvrirais le monde
Je le peindrais à ma façon
Sur mes pages en désordre
Comme pour dessiner un ballon
Que je t’envoie à la figure.
Que je t’envoie à la figure.
Oh si j’étais quelqu’un
Si j’étais quelqu’un
Je t’aimerais passionnément
Comme les autres…
Si j’étais quelqu’un
Comme les autres… quelqu’un
Comme les autres…
(Nathalie Nechtschein / Erick Benzi)
Je ne suis pas celle que les lumières éclairent
Je ne suis pas celle qui change avec le temps
Et si malgré tout je suis restée la même
C'est pour approcher mes rêves d'enfant
Je voulais un homme, un seul pour danser
Je voulais chanter pour enchanter
Je voulais des nuits plus longues que les jours
Avant que tu t'en ailles, je voulais toujours
Je ne suis pas celle que tu crois,
Je ne suis pas celle-là, écoute-moi
Je ne suis pas celle que tu vois,
Que l'on raconte, il faut que tu me crois
Je ne suis pas cette fille-là
Je voulais une cheminée pour nous réchauffer
Un grand lit pour dormir contre lui blottie
Je voulais apprivoiser les oiseaux des forêts
Entendre chahuter les enfants attendris
Je voulais là, leur apprendre l'allégresse
Taper avec eux sur des boîtes à sardines
Je voulais envoyer des messages de tendresse
Un peu d'amour sur les terres voisines,
Je ne suis pas celle que tu crois,
Je ne suis pas celle-là, écoute-moi
Je ne suis pas celle que tu vois,
Que l'on raconte, il faut que tu me crois
Je ne suis pas celle que tu crois
Je ne suis pas celle-là, écoute-moi
Je ne suis pas cette fille là
(Christine Orban / David Gategno)
Les heures de gloire
Rythmées de doutes
Le prix que ça coûte
De toujours vouloir
La voix qui vacille, qui scintille
La salle remplie
D’un amour si grand
Si fort qu’il me porte
Me soulève, me prend
Qu’importe la note
Chanter, c’est aimer.
Refrain
Le temps qui compte
Est toujours compté
Qu’il soit gagné
Qu’il soit gaspillé
En rires qui coulent
En vie qui déboule
Le temps qui compte
Est toujours compté.
Il nous martèle,
Il presse le tempo
Le temps m’appelle
Il a dix ans bientôt
Il prend la vie, la saisit et s’en va
Le temps qui compte est toujours compté
Et mon amour si malmené,
Mis en danger
Par les années
Années de trop qui m’ont volé
Combien d’instants, d’heures et de jours?
J’ai rusé avec les mots
Mes chansons hurlaient ton nom
Couplet de passion
T’aimer, c’était chanter.
Refrain
Il nous martèle,
Il presse le tempo
Le temps m’appelle
Il a dix ans bientôt
Il prend la vie, la saisit, s’en va
Le temps qui compte ne nous attend pas
Et la vie glisse sur l’eau du temps
La vie résiste, prend son élan
Pour un baiser elle peut se poser
Mais le temps qui compte est toujours compté
Un seul baiser et la vie s’en va
Le temps qui compte ne nous attend pas
Même avec toi, même avec passion
Le temps qui compte ne dure qu’une chanson
(Marie Laberge / Jacques Veneruso)
Venise, 12 mai 1834
Non, mon enfant chéri, ces trois lettres ne sont pas le dernier serrement de main de l’amante qui te quitte, c’est l’embrassement du frère qui te reste. Ce sentiment-là est trop beau, trop pur, et trop doux, pour que j’éprouve jamais le besoin d’en finir avec lui. Que mon souvenir n’empoisonne aucune des jouissances de ta vie, mais ne laisse pas ces jouissances détruire et mépriser mon souvenir. Sois heureux, sois aimé. Comment ne le serais-tu pas ? Mais garde-moi dans un petit coin secret de ton coeur, et descends-y dans tes jours de tristesse pour y trouver une consolation, ou un encouragement.
Aime donc, mon Alfred, aime pour tout de bon.
Aime une femme jeune, belle, et qui n’ait pas encore aimé,
Ménage-la, et ne la fais pas souffrir.
Le coeur d’une femme est une chose si délicate
Quand ce n’est pas un glaçon ou une pierre !
Je crois qu’il n’y a guère de milieu
Et il n’y en a pas non plus
Dans ta manière d’aimer.
Ton âme est faite pour aimer ardemment,
Ou pour se dessécher tout à fait.
Tu l’as dit cent fois, et tu as eu beau t’en dédire
Rien, rien n’a effacé cette sentence-là,
Il n’y a au monde que l’amour
Qui soit quelque chose.
Peut-être m’as-tu aimée avec peine,
Pour aimer une autre avec abandon.
Peut-être celle qui viendra t’aimera-t-elle moins que moi,
Et peut-être sera-t-elle plus heureuse
Et plus aimée.
Peut-être ton dernier amour sera-t-il le plus romanesque et le plus jeune.
Mais ton coeur, mais ton bon coeur, ne le tue pas, je t’en prie.
Qu’il se mette tout entier
Dans toutes les amours de ta vie,
afin qu’un jour tu puisses regarder en arrière
Et dire comme moi, j’ai souffert souvent,
Je me suis trompé quelquefois
Mais j’ai aimé.
(George Sand / Erick Benzi)
On s’est aimé à cause
A cause de la vie
A cause des grands rêves
Que nous avions bâtis
Autour d’Adam et d’Eve
Et de leurs paradis
On s’est aimé à cause
A cause d’un instant
A cause d’une ambiance
D’un lieu et d’un moment
Et des lambeaux d’enfance
Collés à nos vingt ans
On s’est aimé à cause… à cause…
Mais aujourd’hui tant de choses ont changé
On s’est aimé à cause… à cause…
Et maintenant, il faut s’aimer malgré
Il faut s’aimer malgré,
Malgré le temps perdu
Malgré tous les grands rêves
Dont on n’est revenu
Comme Adam et comme Eve
Du paradis perdu
Il faut s’aimer malgré,
Même malgré le pire
Malgré les stratagèmes
De nos corps sans désir
Malgré tous nos problèmes
Malgré nos souvenirs
On s’est aimé à cause… à cause…
Mais aujourd’hui tant de choses ont changé
On s’est aimé à cause… à cause…
Et maintenant, il faut s’aimer malgré
Il faut s’aimer malgré, malgré beaucoup de choses
Mais maintenant, vois-tu, on ne peut ignorer
Que l’amour se transforme et son apothéose…
C’est quand on aime à cause…
A cause des « malgré » !
On s’est aimé à cause… à cause…
Et maintenant, il faut s’aimer malgré
Mais aujourd’hui tant de choses ont changé
On s’est aimé à cause… à cause…
Oui maintenant, il faut s’aimer malgré
(Françoise Dorin / Marc Dupré – Jean-François Breau)
Chut. Chut, faut pas te réveiller.
Je voulais juste t’embrasser
Te regarder encore une fois
Pour t’emporter avec moi
Là où je vais chanter
Maman t’aime
Surtout ne me regarde pas
Surtout ne me tends pas les bras
Ne pleure, ne pleure surtout pas
Je vais rester et je ne peux pas
Maman t’aime
Que je t’aime
Je le sais, je te fais de la peine
Mais je t’emmène avec moi sur scène
Et si le public m’ovationne
C’est parce que t’es avec moi, mon homme.
Maman t’aime
(Janette Bertrand / David Gategno)