Over 40,000 fans reunited on the Plains of Abraham in Quebec City on July 27, 2013 to witness Celine Dion perform some of her biggest French and English language hits. Relive Celine’s unique one-night only concert with this fabulous collection featuring a DVD or Blu-ray of the entire ‘Celine… une seule fois’ show and 2 live CDs which include 4 bonus tracks from Celine’s 2013 sold-out Paris shows.
Configuration:
Disque 1 (CD)
Disque 2 (CD)
Disque 3 (DVD/Blu-ray)
Dans un grand jardin enchanté
Tout à coup je me suis retrouvée
Une harpe des violons jouaient
Au ciel des anges me souriaient
Le vent faisait chanter l’été
Ce n’était qu’un rêve
Ce n’était qu’un rêve
Impossible à oublier
Dès que le jour se lève
Mon rêve
Ce n’était qu’un rêve
Ce n’était qu’un rêve
(T. Dion / J. Dion / C. Dion)
Loin, loin, c'était certain
Comme une immense faim, un animal instinct
Oh, partir, partir et filer plus loin
Tout laisser, quitter tout, rejoindre un destin
Bye bye, mais faut que j'm'en aille
Adieu tendres années, salut champs de bataille
Et sentir, oh sentir et lâcher les chiens
Y'a trop de trains qui passent, ce train c'est le mien
Et tant pis pour moi, et tant pis pour nous
J'aurais pu rester où la roue tourne, où tout est doux
Moi j'avais pas l'choix, ça cognait partout
Le monde est ta porte et se joue des verrous
Rendez-vous dans un autre monde
ou dans une autre vie
Quand les nuits seront plus longues
plus longues que mes nuits
Et mourir, oh mourir, mais de vivre et d'envie
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits
Beau, beau de bas en haut
J'aimais manger sa peau, j'aimais boire à ses mots
Mais trop tard, ou brouillard, ou bien trop tôt
C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo
Bye bye, faut que j'm'en aille
Une croix sur ses lèvres et ma vie qui s'écaille
Et s'offrir et souffrir et tomber de haut
Et descendre et descendre au fond sur le carreau
Et tant pis pour moi, et tant pis pour lui
J'pourrais l'attendre ici, rien ne s'oublie tout est gris
Moi j'avais pas l'choix, ça cognait aussi
C'est le monde à ta porte et tu lui dis merci
Refrain
Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Une autre chance, une seconde et tant pis pour celle-ci
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui
Rendez-vous quelque part entre ailleurs et l'infini
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits
Rendez-vous quelque part entre ailleurs et l'infini
C'est le monde à ta porte et tu lui dis merci
Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Une autre chance, une seconde et tant pis pour celle-ci
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui
Ticket pour autre rencontre, rencard au paradis
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui
Au plaisir à plus tard et plus tard est si joli
(J. J. Goldman)
Je voudrais oublier le temps
Pour un soupir, pour un instant
Une parenthèse après la course
Et partir où mon cœur me pousse
Je voudrais retrouver mes traces
Où est ma vie, où est ma place
Et garder l’or de mon passé
Au chaud dans mon jardin secret
Je voudrais passer l’océan
Croiser le vol d’un goéland
Penser à tout ce que j’ai vu
Ou bien aller vers l’inconnu
Je voudrais décrocher la lune
Je voudrais même sauver la terre
Mais avant tout
Je voudrais parler à mon père
Parler à mon père
Je voudrais choisir un bateau
Pas le plus grand ni le plus beau
Je le remplirais des images
Et des parfums de mes voyages
Je voudrais freiner pour m’asseoir
Trouver au creux de ma mémoire
Les voix de ceux qui m’ont appris
Qu’il n’y a pas de rêve interdit
Je voudrais trouver les couleurs
Du tableau que j’ai dans le cœur
De ce décor aux lignes pures
Où je vous vois, qui me rassure
Je voudrais décrocher la lune
Je voudrais même sauver la terre
Mais avant tout
Je voudrais parler à mon père
Parler à mon père
Je voudrais oublier le temps
Pour un soupir, pour un instant
Une parenthèse après la course
Et partir où mon cœur me pousse
Je voudrais retrouver mes traces
Où est ma vie, où est ma place
Et garder l’or de mon passé
Au chaud dans mon jardin secret
Je voudrais partir avec toi
Je voudrais rêver avec toi
Toujours chercher l’inaccessible
Toujours espérer l’impossible
Je voudrais décrocher la lune
Et pourquoi pas sauver la terre
Mais avant tout
Je voudrais parler à mon père
Parler à mon père
(Jacques Veneruso)
There were nights when the wind was so cold
That my body froze in bed
If I just listened to it
Right outside the window
There were days when the sun was so cruel
That all the tears turned to dust
And I just knew my eyes were
Drying up forever
I finished crying in the instant that you left
And I can't remember where or when or how
And I banished every memory you and I had ever made
But when you touch me like this
And you hold me like that
I just have to admit
That it's all coming back to me
When I touch you like this
And I hold you like that
It's so hard to believe but
It's all coming back to me
It's all coming back, it's all coming back to me now
There were moments of gold
And there were flashes of light
There were things I'd never do again
But then they'd always seemed right
There were nights of endless pleasure
It was more than any laws allow
Baby Baby Baby
If I kiss you like this
And if you whisper like that
It was lost long ago
But it's all coming back to me
If you want me like this
And if you need me like that
It was dead long ago
But it's all coming back to me
It's so hard to resist
And it's all coming back to me
I can barely recall
But it's all coming back to me now
(Jim Steinman)
THE POWER OF LOVE
Cause I am your lady
And you are my man
Whenever you reach for me
I'll do all that I can
We're heading for something
Somewhere I've never been
Sometimes I am frightened
But I'm ready to learn
Of the power of love
The sound of your heart beating
Made it clear suddenly
The feeling that I can't go on
Is light years away
Cause I am your lady
And you are my man
Whenever you reach for me
I'll do all that I can
We're heading for something
Somewhere I've never been
Sometimes I am frightened
But I'm ready to learn
Of the power of love
(Gunther Mende / Candy DeRouge / Jennifer Rush / Mary Susan Applegate / David Foster)
On ne change pas
On met juste les costumes d’autres sur soi
On ne change pas
Une veste ne cache qu’un peu de ce qu’on voit
On ne grandit pas
On pousse un peu, tout juste
le temps d’un rêve, d’un songe
Et les toucher du doigt
Mais on n’oublie pas
L’enfant qui reste, presque nu
les instants d’innocence
Quand on ne savait pas
On ne change pas
On attrape des airs et des poses de combat
On ne change pas
On se donne le change, on croit
que l’on fait des choix
Mais si tu grattes là
Tout près de l’apparence tremble
un petit qui nous ressemble
On sait bien qu’il est là
On l’entend parfois
Sa rengaine insolente
qui s’entête et qui répète
Oh ne me quitte pas
On n’oublie jamais
On a toujours un geste
qui trahit qui l’on est
Un prince, un valet
Sous la couronne un regard
une arrogance, un trait
D’un prince ou d’un valet
Je sais tellement ça
J’ai copié des images
et des rêves que j’avais
Tous ces milliers de rêves
Mais si près de moi
Une petite fille maigre
marche à Charlemagne, inquiète
Et me parle tout bas
On ne change pas, on met juste
les costumes d’autres et voilà
On ne change pas, on ne cache
qu’un instant de soi
Une petite fille
Ingrate et solitaire marche
et rêve dans les neiges
en oubliant le froid
Si je la maquille
Elle disparaît un peu,
le temps de me regarder faire
Et se moquer de moi
Une petite fille
Une toute petite fille
(Jean-Jacques Goldman)
Y’a pas de voiles aux volets de mes frères
Y’a pas d’opale autour de mes doigts
Ni cathédrale où cacher mes prières
Juste un peu d’or autour de ma voix
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Des feux d’été je vole aux sombres hivers
Des pluies d’automne aux étés indiens
Terres gelées aux plus arides déserts
Je vais je viens, ce monde est le mien
Je vis de notes et je vis de lumière
Je virevolte à vos cris, vos mains
La vie m’emporte au creux de tous ses mystères
Je vois dans vos yeux mes lendemains
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
Je vais les routes et je vais les frontières
Je sens, j’écoute, et j’apprends, je vois
Le temps s’égoutte au long des fuseaux horaires
Je prends, je donne, avais-je le choix?
Je prends le blues aux signaux des répondeurs
Je prends la peine aux aéroports
Je vis l’amour à des kilomètres ailleurs
Et le bonheur à mon téléphone
Tel est mon destin
Je vais mon chemin
Ainsi passent mes heures
Au rythme entêtant des battements de mon coeur
(Jean-Jacques Goldman)
L’amour est le pire des fléaux
Il change l’allure, truque les mots
C’est pire qu’un lavage de cerveau
Comme l’oasis dans le désert
Il nous attire, il cherche à plaire
Pour nous faire plonger en enfer
L’amour n’a aucune morale
C’est un criminel en cavale
Mais qui peut dire
Qu’il peut vivre sans amour
Qui ?
Qui peut faire
Comme s’il n’en voulait pas
Qui ?
Mais qui peut dire
Que ça n’lui fait rien l’amour
Qui ?
Il torture, il foudroie
Nous cloue les bras en croix
Mais qui peut dire ?
L’amour fait tout le sale boulot
Jette les âmes pures dans les cachots
Brise les princesses dans les châteaux
Il n’y a jamais de drapeaux blancs
Pas d’armistices, pas de printemps
C’est la guerre quand l’amour vous prend
L’amour vous laisse champ de bataille
C’est du poison dans les entrailles
Mais qui peut dire
Qu’il peut vivre sans amour
Qui ?
Qui peut faire
Comme s’il n’en voulait pas
Qui ?
Mais qui peut dire
Que ça n’lui fait rien l’amour
Qui ?
Il torture, il foudroie
Nous cloue les bras en croix
Mais qui peut dire
Qu’il peut vivre sans amour
Qui ?
Qui peut faire
Comme s’il n’en voulait pas
Qui ?
Mais qui peut dire
Que ça n’lui fait rien l’amour
Qui ?
Il nous blesse, nous caresse
Nous tient à bout de laisse
Mais qui peut dire ?
(À bout de laisse)
Mais qui peut dire
Qu’il peut vivre sans amour
Qui ?
Qui peut faire
Comme s’il n’en voulait pas
Qui ?
Mais qui peut dire
Que ça n’lui fait rien l’amour
Qui ?
Il torture, il foudroie
Nous cloue les bras en croix
(Elodie Hesme / David Gategno)
Je crains la nuit quand tu n’es pas là
Ce tout petit au-delà
Je crains le silence après les voix
Ce froid si froid
Je crains les rues, le jour et les gens
Et la solitude autant
Je prie qu’on ne me remarque pas
Moi je crois toi, toi je te crois
La pluie, les éclairs et les chats noirs
La vie me glace d’effroi
Soudain je sursaute en ne croisant qu’un miroir
Mais n’ai-je peur que de moi ?
Je crains les promesses et les serments
Les cris, les mots séduisants
Je me méfie si souvent de moi
Mais de toi, pas, toi je te crois
La pluie, les éclairs et les chats noirs
La vie me glace d’effroi
Mais quand je sursaute en ne croisant qu’un miroir
N’aurais-je peur que de moi ?
Je crains les saints, le mal et le bien
Je crains le monde et ses lois
Quand tout m’angoisse, quand tout s’éteint
J’entends ta voix
Je te crois, toi
Toi, je te crois
Moi, je te crois
(Jean-Jacques Goldman)
Je suis la mère, tu es l’enfant
Aucun lien n’est plus sage
Tu es le sable, moi l’océan
Tu es mon seul rivage
Je te recouvre chaque instant
De mes vagues de passion
Comme une mer de sentiments
Et d’affection
De toute ma tendresse
Mes vagues te caressent
Comme un enfant face à la mer
Souriant et apaisé
Tu trouves en moi quelques repères
Notre rêve est réalisé
Ne pleure plus, je te rassure
Car c’est la mer qui efface
Les cicatrices et les blessures
Écrites dans le sable à la surface
Je suis la mère, tu es l’enfant
Aucun lien n’est plus fort
Tu es ma terre, moi l’océan
Tu es mon seul décor
Je sais devenir capricieuse
Je peux me mettre en sang
Et jouer la tempête furieuse
Qui te défend
De tout mon privilège
Mes vagues te protègent
Comme un enfant face à la mer
Souriant et apaisé
Tu trouves en moi quelques repères
Notre rêve est réalisé
Ne pleure plus, je te rassure
Car c’est la mer qui efface
Les cicatrices et les blessures
Écrites dans le sable à la surface
Comme un enfant face à la mer
Souriant et apaisé
Tu trouves en moi quelques repères
Notre rêve est réalisé
Ne pleure plus, je te rassure
Car c’est la mer qui efface
Les cicatrices et les blessures
Écrites dans le sable à la surface
(Fabien Marsaud (Grands Corps Malade) / David Gategno)
Je me demande à quoi elle pense
Quand elle s'enferme dans ses silences
Si dans mes yeux elle voit ses yeux
Si son passé est plus heureux
Se souvient-elle des jours fragiles
De tous ces voyages immobiles
Combien de rêves, combien de doutes
Et combien de pièges sur sa route
Et même si je me perds la nuit
Les rôles sont inversés aujourd'hui
C'est le jeu de la vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
Et même si je me perds là-bas
Sous un soleil bien trop grand pour moi
C'est le jeu de ma vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
Je la regarde marcher de dos
Le rose de l'été sur sa peau
Je sais qu'elle suit dans la lumière
Le chemin tracé par mon père
Elle me croit loin, je suis si près
Le passé me hante, les regrets
Un avion, un hôtel, un adieu sur un quai
Souvent je pense à elle pour me trouver
Et même si je me perds la nuit
Les rôles sont inversés aujourd'hui
C'est le jeu de la vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
Et même si je me perds là-bas
Sous un soleil bien trop grand pour moi
C'est le jeu de ma vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
Lancée vers l'océan dans le reflet du monde
Emportée par le vent, c'est mon enfance qui tombe
Et même si je me perds la nuit
Les rôles sont inversés aujourd'hui
C'est le jeu de la vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
Et même si je me perds là-bas
Sous un soleil bien trop grand pour moi
C'est le jeu de ma vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
C'est le jeu de ma vie,
C'est le jeu de ma vie
Je veille sur celle qui m'a tout appris
(Nina Bouraoui / Jacques Veneruso)
Terre,
J’ai passé trop de temps sur la route
À espérer les faibles traces que tu as semées
Terre,
Si tu savais combien je t’ai manqué
Ces journées sans boussole, je l’ai souvent prié
Terre,
Que font les amants qui se retrouvent?
Que dois-je mettre ce soir
Un rien de parfum, de l’alcool ou du blues?
Terre,
De mots doux qui tremblent et nichent partout
De silences bavards, de paupières contre joues
Et qu’importe le jeu
J’ai ce que je veux
Hisser le pavillon bleu
Car ce soir j’ai touché
Terre,
Terre d’asile, sur ta peau de velours
Glissent les encore et les toujours
Terre,
Terre promise, les oiseaux se souviennent
De nos corps en drapeaux
qui claquent et qui s’aiment
Terre,
Terre de feu, sans issue de secours
Et nos braises rouges se consomment à leur tour
Terre,
Oubliée la mer des songes tabous
Et les secondes passent
un peu plus vite chaque jour
Terre,
Bien ancrée sur le sol de tes charmes
J’ai laissé les étoiles guider mes bras
vers ton cou
Et ton oeil complice
À graver sur mes reins
Plus jamais, jamais peur de rien
Car ce soir j’ai touché
Terre,
Terre d’asile, sur ta peau de velours
Aux courbures de la fin du jour
Terre,
Terre brûlée au langage du désir
Danse du ciel
Caresses, partage et soupirs
Terre,
Terre étrangère, mais si proche pourtant
C’est ici que je veux mourir maintenant
Terre,
Terre d’asile, terre d’amour
Terre,
Terre sauvage, terre promise
(Erick Benzi)
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Va pour tes forêts tes loups tes gratte-ciel
Va pour les torrents tes neiges éternelles
J’habite où tes yeux brillent où ton sang coule
Où des bras me serrent
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Je veux des cocotiers des plages
Et des palmiers sous le vent
Le feu du soleil au visage
Et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages
Et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants
Va pour tes cocotiers tes rivages
Va pour tes lagons tout bleu balançant
J’habite où l’amour est un village
Là où l’on m’attend
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras, qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d’ici
L’escampette et la poudre et la fille de l’air
Montre-moi tes édens montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes zestes d’ouest
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Qu’importe j’irai où bon te semble
J’aime tes envies j’aime ta lumière
Tous le paysages te ressemblent
Quand tu les éclaires
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
(Jean-Jacques Goldman)
Dans un marais
De joncs mauvais
Y avait
Un vieux château
Aux longs rideaux
Dans l´eau
Dans le château
Y avait Bozo
Le fils du matelot
Maître céans
De ce palais branlant
Par le hublot
De son château
Bozo
Voyait entrer
Ses invités
Poudrés
De vieilles rosses
Traînant carrosse
Et la fée Carabosse
Tous y étaient
Moins celle qu´il voulait…
Vous devinez
Que cette histoire
Est triste à boire
Puisque Bozo
Le fou du lieu
Est amoureux
Celle qu´il aime
N´est pas venue
C´est tout entendu
Comprenez ça
Elle n´existe pas…
Ni le château
Aux longs rideaux
Dans l´eau
Ni musiciens
Vêtus de lin
Très fin
Y a que Bozo
Vêtu de peau
Le fils du matelot
Qui joue dans l´eau
Avec un vieux radeau
Si vous passez
Par ce pays
La nuit
Y a un fanal
Comme un signal
De bal
Dansez, chantez
Bras enlacés
Afin de consoler
Pauvre Bozo
Pleurant sur son radeau…
(Félix Leclerc)
Non je n'ai pas besoin d'amour
J'ai quelqu'un à tous les jours
Dans mes bras
Non
Je n'ai pas besoin d'amour
Je n'ai pas besoin de lune
J'ai des baisers qui m'allument
Mieux que toutes les étoiles
Non
Je n'ai pas besoin de fleurs
Les mots germent dans mon cœur
Je n'ai pas besoin de rêves
Je n'ai pas besoin d'amant
Le vent souffle énormément
La nuit se couche en chantant
Et moi je berce ma famille
Un petit, petit bonheur immense
Un beau cadeau de l'existence
Non
Je n'ai pas besoin d'amour
J'ai des amis qui m'entourent
J'ai du bonheur plein les bras
Non
Je n'ai pas besoin d'amour
Je n'ai pas besoin de lune
J'ai des baisers qui m'allument
Mieux que toutes les étoiles
Un petit, petit bonheur immense
Un beau cadeau de l'existence
Tu n'es pas l'amour de ma vie
Tu es la vie de mon amour
Mon petit, petit, petit très grand bonheur
Je n'ai pas besoin de fleurs
Les mots germent dans mon cœur
Je n'ai pas besoin de rêves
Non
Je n'ai pas besoin d'amant
Un seul jour sans t'embrasser
Les feuilles se mettent à tomber
Au secours, au secours
J'ai besoin de ton amour
(Jean-Pierre Ferland / Daniel Mercure)
Je rêve son visage je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor
J'aurais tant à lui dire si j'avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?
Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu'on me dise mes fautes mes chimères aussi
Moi j'offrirais mon âme, mon coeur et tout mon temps
Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l'enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j'entends battre tous les coeurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on pouvait changer les choses et tout recommencer
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S'il suffisait d'aimer
(Jean-Jacques Goldman)
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m'ancrer à ton port
La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore...
On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout
D'avoir raison ou d'avoir tort
Le monde est mené par des fous
Mon amour il n'en tient qu'à nous
De nous aimer plus fort
Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Aux quatre coins du monde
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
L'amour existe encore
L'amour existe encore...
Pour t'aimer une fois pour toutes
Pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort
Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
(Luc Plamondon / Richard Cocciante)
When I was young
I never needed anyone
And making love was just for fun
Those days are gone
Livin’ alone
I think of all the friends I’ve known
When I dial the telephone
Nobody’s home
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
Hard to be sure
Sometimes I feel so insecure
And loves so distant and obscure
Remains the cure
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
All by myself
Don’t wanna live
All by myself
Anymore
When I was young
I never needed anyone
Making love was just for fun
Those days are gone
All by myself
Don’t wanna be
All by myself
Anymore
All by myself
Don’t wanna live
Oh
Don’t wanna live
By myself, by myself
Anymore
By myself
Anymore
Oh
All by myself
Don’t wanna live
I never, never, never
Needed anyone
(Eric Carmen / Sergei Rachmaninoff)
Détourner des rivières, porter des poids
Traverser des mers, je saurais faire
Défier des machines, narguer des lois
Les foudres divines, ça m’effraie pas
J’sais prendre un coup, le rendre aussi
River des clous, ça j’ai appris
J’suis pas victime, j’suis pas colombe
Et pour qu’on m’abîme, faut qu’je tombe
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je savais le silence depuis longtemps
J’en sais la violence, son goût de sang
Rouges colères, sombres douleurs
Je sais ces guerres, j’en ai pas peur
Je sais me défendre, j’ai bien appris
On est pas des tendres par ici
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Lutte après lutte, pire après pire
Chaque minute, j’ai cru tenir
J’voudrais apprendre jour après jour
Mais qui commande à nos amours?
Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas
Je sais pas
Je sais pas
(Jean-Jacques Goldman / J. Kapler)
JE DANSE DANS MA TÊTE
L’avenir est planétaire
Y’a six milliards d’humains sur terre
Mais chacun vie sa vit en solitaire
Chacun a ses habitudes
Chacun a ses certitudes
Et l’amour est la pire des solitudes
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Que je sois debout dans le métro
Que je sois assise à mon bureau
Tous les jours les mêmes mots
Les mêmes gestes de robot
Y’a d’quoi dev’nir fou
Et vous qu’en pensez-vous?
Y’a vraiment d’quoi dev’nir fou
Mais moi je m’en fou
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
Je de-de-de-danse dans ma tête
(Luc Plamondon / Romano Musumarra)
DES MOTS QUI SONNENT
Come’on baby, fais-moi une chanson
Réponds au moins au téléphone
Je sais bien que ton occupation
Préférée… c’est d’avoir du fun
Mais moi j’ai besoin de ma chanson
Toutes mes lignes de téléphone sonnent
J’suis bookée à la télévision
Dans tous les shows de promotion
Qu’est-ce que j’vais faire
Si j’ai pas ma chanson
De quoi j’vais avoir l’air?
Allo!
J’leur ai promis un numéro un
J’suis en studio demain matin
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui résonnent
Écris-moi des mots qui donnent
Un sens à ma musique
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui raisonnent
Écris-moi des mots right on
Avec la rythmique
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des lignes
Qui swiguent comm’ du Sting
Qui sonnent
Comm’ du Jackson
Des mots qui riment
Des mots qui pensent
Et qui balancent
Des mots qui disent
Ce que tu dirais, toi
Si tu avais ma voix
Écris-moi des mots qui donnent
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des mots qui sonnent
Des mots qui résonnent
Écris-moi des mots qui donnent
Un sens à ma musique
Écris-moi des mots qui sonnent
Y’faut qu’ça fasse un number one
Écris-moi des mots qui donnent
Y faut qu’ce soit l’fun
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des mots qui sonnent
Écris-moi des mots qui donnent
Écris-moi des mots qui sonnent right on
Écris-moi des mots qui sonnent
Y’faut qu’ça fasse un number one
Écris-moi des mots right on
Y faut qu’ce soit l’fun
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots
Écris-moi des mots qui sonnent
(Luc Plamondon / Aldo Nova / Marty Simon)
INCOGNITO
Incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
Incognito
Sans dire un mot
Incognito
C’est pas facile de te tourner le dos
M’en aller loin d’ici
M’en aller loin de toi, loin de moi
Loin d’ici une autre vie
Loin de toi, il existe une autre moi
M’en aller dans un pays
Où personne ne saura qui je suis
Solitaire je chercherai
Sur la terre un coin où je t’oublierai
Loin de nous
Loin de tout
Loin du monde où j’étais ta possession
Loin de nous
Loin de tout
J’oublierai ton nom et mon nom
Je m’en irai incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
Incognito
Sans dire un mot
Incognito
C’est pas facile de te tourner le dos
Je m’en vais aujourd’hui
Loin de mes amis, de tes amis
Qui diront ce qu’ils voudront
Dans mon dos
Je n’en saurai pas un mot
Je m’en vais au bout du monde
S’il le faut je m’ferai teindre en blonde
Si jamais tu me revois
J’te promets qu’ tu n’me reconnaîtras pas
Loin de nous
Loin de tout
Loin du monde où j’étais ta possession
Loin de nous
Loin de tout
J’oublierai ton nom et mon nom
Je m’en irai
Incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zéro
Incognito
Sans dire un mot
Sans dire un mot
Pas facile de te tourner le dos
Incognito
Bien dans ma peau
Incognito
Je recommence ma vie à zero
(Luc Plamondon / Jean-Alain Roussel)
There ain't a dream that don't have a chance
To come true now
It just takes a little faith baby
Anything that we want to do
We can do now
There ain't nothing in our way baby
Nothing our love couldn't rise above
We can get through the night
We can get to the light
Long as we got our love to light the way
With a little faith
Just a little trust
If you believe in love
Love can move mountains
Believe in your heart
And feel, feel it in your soul
And love baby love can love can move mountains
Oceans deep and mountains high
They can't stop us
Because love is on our side baby
We can reach the heavens and touch the sky
Just believe it, believe in you and I baby
If we got love that is strong enough
We can do anything, make it through anything
‘Coz through it all love will always find a way
With a little faith...
You believe in me
I'll believe in you
If we believe in each other
Nothing we can't do
If we got love that is strong enough
Love will find a way
With a little faith...
(Diane Warren)
RIVER DEEP, MOUNTAIN HIGH
When I was a little girl
I had a rag doll
Only doll I've ever owned
Now I love you just the way I loved that rag doll
But only now my love has grown
And it gets stronger, in every way
And it gets deeper, let me say
And it gets higher, day by day
And do I love you my oh my
Yeh river deep mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
When you were a young boy
Did you have a puppy
That always followed you around
Well I'm gonna be as faithful as that puppy
No I'll never let you down
Cause it grows stronger, like a river flows
And it gets bigger baby, and heaven knows
And it gets sweeter baby, as it grows
And do I love you my oh my
Yeh river deep, mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
I love you baby like a flower loves the spring
And I love you baby just like Tina loves to sing
And I love you baby like a school boy loves his pet
And I love you baby, river deep mountain high
Oh yeah you've gotta believe me
River Deep, Mountain High
Do I love you my oh my, oh baby
River deep, mountain high
If I lost you would I cry
Oh how I love you baby, baby, baby, baby
(Ellie Greenwich / Jeff Barry / Phil Spector)
Every night in my dreams
I see you, I feel you,
That is how I know you go on
Far across the distance
And spaces between us
You have come to show you go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you’re here in my heart
And my heart will go on and on
Love can touch us one time
And last for a lifetime
And never let go till we’re one
Love was when I loved you
One true time I hold to
In my life we’ll always go on
Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you’re here in my heart
And my heart will go on and on
There is some love that will not go away
You’re here, there’s nothing I fear,
And I know that my heart will go on
We’ll stay forever this way
You are safe in my heart
And my heart will go on and on
(James Horner / Will Jennings)
J’ai compris tous les mots, j’ai bien compris, merci
Raisonnable et nouveau, c’est ainsi par ici
Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
Que le temps d’avant, c’était le temps d’avant
Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent
Il faut que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Fallait pas commencer m’attirer me toucher
Fallait pas tant donner moi je sais pas jouer
On me dit qu’aujourd’hui, on me dit que les autres font ainsi
Je ne suis pas les autres
Avant que l’on s’attache, avant que l’on se gâche
Je veux que tu saches
J’irai chercher ton coeur si tu l’emportes ailleurs
Même si dans tes danses d’autres dansent tes heures
J’irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m’aimes encore
Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
Je ferai nos bagages pour d’infinies vendanges
Les formules magiques des marabouts d’Afrique
J’les dirai sans remords pour que tu m’aimes encore
Je m’inventerai reine pour que tu me retiennes
Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
Vos jeux seront les nôtres si tel est ton désir
Plus brillante plus belle pour une autre étincelle
Je me changerai en or pour que tu m’aimes encore.
(Jean-Jacques Goldman)
I was walking dead
Stuck inside my head
I couldn’t get out
Turned the lights down
The voices inside were so loud
Needed a jump start
Catatonia
I couldn’t feel
I wished that i could disappear
The voices inside were so real
But you stood by my side
Night after night
Night after night
You loved me back to life
Life…
From the coma
The wait is over
You loved me back to life
Life…
From the coma
We’re lovers again tonight
You woke me up
One touch and I felt alive
You loved me back to life
Back to life thought I’d die
The voices inside were so quiet
But you stood by my side
Night after night
Night after night
You loved me back to life
Life…
From the coma
The wait is over
You loved me back to life
Life…
From the coma
We’re lovers again tonight
Strong hands
Thick skin
And an open heart
You saw through the pain
Saw through the mask
You never gave up on me
You loved me back to life
Life…
From the coma
The wait is over
You loved me back to life
Life…
From the coma
We’re lovers again tonight
(Hasham Hussain / Denarius Motes / Sia Furler)
Serre ton bonheur quand il vient
Écoute les murmures et les lents dessins
Du fleuve rouge et mauve qui coule en nos seins
Ses dangers, ses ravins
Pleure la lumière quand elle meure
Puis hurle sous la lune comme ça l’air de rien
Devant la nuit immense et jusqu’au matin
Va toucher le lointain
Au-dessus de nous, dedans et tout autour
Le miracle est partout mon amour
Sauras-tu le voir
Au cœur de nos cœurs, au-delà des contours
Le miracle est partout mon amour
C’est à toi de le voir
Terre ta douleur quand elle brille
Partage tes envies, tes jeux, tes prodiges
Le long de tes racines ces voix qui grésillent
Va défier tes vertiges
Brûle ton amour quand il brûle
Fais feu de tout le bois dont tes bras disposent
Étonne-toi du fond de ta moindre cellule
N’oublie jamais les roses
Au dessus de nous dedans et tout autour
Le miracle est partout mon amour
Sauras-tu le voir
Au cœur de nos cœurs, au-delà des contours
Le miracle est en nous mon amour
C’est à toi de le voir
Au cœur de nos cœurs et dans le point du jour
Le miracle est en nous mon amour
C’est à toi de le voir
Le miracle est en nous mon amour
Au-dessus de nous, dedans et tout autour
Le miracle est partout mon amour
Sauras-tu le voir
Le miracle est en nous mon amour…
(Marie Bastide / Gioacchino Maurici)
J’ai déposé mes armes
A l’entrée de ton coeur
Sans combat
Et j’ai suivi tes charmes
Lentement, en douceur
Quelque part là-bas
Au milieu de tes rêves
Aux creux de ton sommeil
Dans tes nuits
Un jour nouveau se lève
A nul autre pareil
Et tu sais, depuis…
Tout l’or des hommes
Ne vaut plus rien
Si tu es loin de moi
Tout l’amour du monde
Ne me fait rien
Alors surtout, ne change pas
C’est un nouveau voyage
Le destin, le hasard
Peu importe
Qui m’a montré le passage
Qui allait jusqu’à toi
Et tu sais, depuis…
Tout l’or des hommes
Ne vaut plus rien
Si tu es loin de moi
Tout l’amour du monde
Ne me fait rien
Surtout, ne change pas
(Jacques Veneruso)
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Mais moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
La première fois que je l’ai vu
Je m’suis jetée sur lui dans la rue
J’lui ai seulement dit
Que j’avais envie de lui
Il était quatre heures du matin
J’étais seule et j’avais besoin
De parler à quelqu’un
Il m’a dit: viens prendre un café
Et on s’est raconté nos vies
On a ri, on a pleuré
Ziggy, il s’appelle Ziggy
C’est mon seul ami
Dans sa tête y’a que d’la musique
Il vend des disques dans une boutique
On dirait qu’il vit
Dans une autre galaxie
Tous les soirs, il m’emmène danser
Dans des endroits très très gais
Où il a des tas d’amis
Oui, je sais, il aime les garçons
Je devrais me faire une raison
Essayer de l’oublier… mais
Ziggy, il s’appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C’est un garçon pas comme les autres
Et moi je l’aime, c’est pas d’ma faute
Même si je sais
Qu’il ne m’aimera jamais.
(Luc Plamondon / Michel Berger)
Seven days has gone so fast
I really thought the pain would pass
It’s been nearly an hour
Since I thought of you
But you’re not answering the phone
I’d settle for a busy tone
At least by that I’d know that you’re okay
A guy like you ain’t meant to go away, no
Now you’re gone
There’s nothing else I want
Now that it’s over
There’s nothing else I want
What have I done
Looks like I was wrong
Is everything really meant to change
I guess we’re like water and a flame
Water and a flame
I’m tired of this empty house
I need a drink to get me out
A couple more ’til I forget your name
I saw a guy that looked like you
I did not know quite what to do
It took a power of will to break my stare
I realized what I wanted wasn’t there
Now you’re gone
There’s nothing else I want
Now that it’s over
There’s nothing else I want
What have I done
Looks like I was wrong
Is everything really meant to change
I guess we’re like water and a flame
Water and a flame
And if you see me coming
Look away, look away
And if your mind is made up
Look away, I will look away
And, if you’re worried about me
I’m okay, I’m okay, yes I am
Now you’re gone
There’s nothing else I want
Now that it’s over
There’s nothing else I want
What have I done
Looks like I was wrong
Is everything really meant to change
I guess we’re like water and a flame
Water and a flame
(Francis “Eg” White / Daniel Merriweather)
C’est comme une machine à fond de train
Une locomotive qui foncerait sans fin
Des coups des secousses, je m’habitue pas
Qui conduit, qui pousse ce train, qui sait où il va?
J’ai mal à la tête, j’ai mal au coeur
Faites qu’on l’arrête, appelez-moi le contrôleur
Je veux qu’on m’explique, je veux quelqu’un
En cas de panique c’est écrit là
Oh, tirez sur le frein à main
Et toi qu’est-ce que tu fous là
Sur ton sofa, à côté d’moi
Tu vois pas que j’crève, que j’suis vidée
Que j’ai plus de sève, que je vais lâcher
Regarde-moi, dis moi les mots tendres
Ces mots tout bas
Fais moi redescendre loin de tout loin de tout ça
Je veux, je commande, regarde-moi
J’ai besoin de tes yeux,
C’est le miroir où j’existe sans eux
Je ne me vois pas
Mais tout nous aspire, petits écrans
Faut montrer le pire ailleurs
Pour accepter nos néants
Si t’y prends pas garde, avec le temps
Tu te fous des gares et jamais plus tu ne redescends
Les tempes qui cognent, ça me reprend
Ou tu te raisonnes ou tu prends des médicaments
Mais je voudrais savoir une fois seulement
La fin de l’histoire et pourquoi, où et comment
Qui sont les bons et les méchants?
(Jean-Jacques Goldman)