J'ai déposé mes armes
A l'entrée de ton coeur
Sans combat
Et j'ai suivi tes charmes
Lentement, en douceur
Quelque part là-bas
Au milieu de tes rêves
Aux creux de ton sommeil
Dans tes nuits
Un jour nouveau se lève
A nul autre pareil
Et tu sais, depuis...
Tout l'or des hommes
Ne vaut plus rien
Si tu es loin de moi
Tout l'amour du monde
Ne me fait rien
Alors surtout, ne change pas
C'est un nouveau voyage
Le destin, le hasard
Peu importe
Qui m'a montré le passage
Qui allait jusqu'à toi
Et tu sais, depuis...
Tout l'or des hommes
Ne vaut plus rien
Si tu es loin de moi
Tout l'amour du monde
Ne me fait rien
Surtout, ne change pas
(Jacques Veneruso)
Apprends-moi
Les petites choses
Des couleurs que tu portes, au noir de ton café
Apprends-moi
Ce qui te repose
Tes envies et tes fautes avouées
Apprends-moi
Avec ton sourire
Tes manies, tes causes
Tes phobies, tes secrets
Apprends-moi
Ce que tu désires
En douces phrases et baisers sucrés
Et dans mes rêves
J’ai si souvent prié,
Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras, j’irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près,
que tu m’apprennes toi, sans jamais oublier
Apprends-moi
Rien que ce qui compte
Ces rires fous qu’on ose
Puisque le monde est sourd
Apprends-moi
Apprends-moi
Que rien d’autre ne compte
Que ces serments fidèles
D’un jour
Apprends-moi
Le temps des délices
Ces puits d’ivresse neuve
Ces actes sans recours
Apprends-moi
Apprends-moi
L’art du sacrifice
Qu’on est plus vivant
Quand on meurt d’amour
Et dans mes rêves
J’ai si souvent prié,
Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras j’irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près,
que je m’apprenne dans toi, jusqu’au dernier secret
Apprends-moi….
Apprends-moi tes sourires
Apprends-moi tes désirs
Apprends-moi tes phobies
Apprends-moi tes manies
Apprends-moi tes secrets
Et dans mes rêves
J’ai si souvent prié,
Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras j’irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près,
que tu m’apprennes toi, sans jamais oublier
Lis dans mes rêves
J’ai si souvent prié,
Où tu voudras, où tu pourras, où tu iras j’irai
Lis sur mes lèvres
Approche un peu plus près,
que je m’apprenne dans toi, jusqu’au dernier secret
Apprends-moi tes sourires
Apprends-moi tes désirs
Apprends-moi tes phobies
Apprends-moi tes manies
Apprends-moi tes secrets
(Erick Benzi)
Et j’ai suivi le vol d’un ange
Il m’a emmené jusqu’à toi
Un battement de cil
Et tu es là
La nuit plus rien ne nous dérange
La raison est un fil de soie
On la sent plus fragile
C’est bien comme ça
Mais dis-moi…
Toi, est-ce que tu rêves encore ?
Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ?
Toi, est-ce que tu cherches encore ?
Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ?
Et j’ai suivi le vol d’un ange
Comme un voyage au fond de moi
Juste en fermant les yeux
Et tu es là
La nuit à ce pouvoir étrange
De nous faire aller jusque là
Où même les oiseaux
N’arrivent pas
Toi, est-ce que tu rêves encore ?
Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ?
Toi, est-ce que tu cherches encore ?
Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ?
On frôlait l’océan
Est-ce que tu te rappelles ?
On partait droit devant
On rêvait
De voler là-bas
A l’autre bout du ciel, à l’autre bout du ciel
Toi, est-ce que tu rêves encore ?
Toi, est-ce que tu vas toujours caresser le ciel ?
Toi, est-ce que tu cherches encore ?
Toi, est-ce que tu veux toujours effleurer le soleil ?
Et j’ai suivi le vol d’un ange
Il m’a emmené jusqu’à toi
Un battement de cil
Et tu es là
(Jacques Veneruso)
Tu charmes, tu blesses mais tu ne mens jamais
Tu choisis seul, bon ou mauvais
Qui décide de ce qui se fait ?
Tu es comme tu es, ça me plaît
Tu n’as pas d’heure d’hiver, d’été
D’ailleurs ta montre tu l’as donnée
Mais quand je vais mal tu le sais
Tu trouves deux, trois mots et ça y est
Des comme toi, c’est pas souvent
Écoute, c’est important…
Ne bouge rien ne bouge pas
On en fait pas beaucoup comme toi
Ne touche à rien c’est bien comme ça
Ne bouge rien ne bouge pas
Tu aimes fort et puis tu disparais
T’as bien trop d’amis pour rester
Tu ne sais même pas t’excuser
Juste te faire pardonner
Tu oublies le mal qu’on te fait
Tu veux toujours tout partager
Tu ris, tu pleures sans te cacher
La vie s’écoule sans t’abîmer
Des gens comme ça, y’en n’a pas tant
Écoute, c’est important….
Ne bouge rien ne bouge pas
On en fait pas beaucoup comme toi
Ne touche à rien c’est bien comme ça
Ne bouge rien ne bouge pas
Bis
On va te dire tourne la page Ne bouge rien ne bouge pas
Il faut grandir, devenir sage Ne bouge rien ne bouge pas
Tous ces mots qui nous mettent en cage Ne bouge rien ne bouge pas
Pour être libre il n’y a pas d’âge Ne bouge rien en bouge pas
Ecoute, c’est important…
Ne bouge rien ne bouge pas
On en fait pas beaucoup comme toi
Ne touche à rien c’est bien comme ça
Ne bouge rien ne bouge pas
(Gildas Arzel)
Je connais bien ce regard
Ces yeux qui se ferment par instants
Ces pensées qui nous séparent
Qu’on ne partage même en rêvant
Fixés droits vers l’océan
Peines muettes ou courses d’enfant
Bouts de vie que tu caches
A l’abri dans ton silence
Que brise ma voix, je le sens
J’aimerais tant savoir
Souffler comme le vent
Sur ton doux visage
Faire partir le noir, disparaître le temps
Casser les nuages
Parler même tout bas
Juste pour toi et moi
De petits riens
Mais là-bas
Au loin, tu nages…
Tu nages sans t’arrêter
Dans les eaux profondes, quelquepart
Tu nages pour ne pas couler
Et ici bas, c’est déjà le soir
Et moi j’attends sur le pont
Impuissante et seule si souvent
Moi qui n’aime que ta voix
Petit point sur l’horizon
J’ai peur qu’un jour tu n’reviennes pas
J’aimerais tant savoir
Souffler comme le vent
Sur ton beau visage
Faire se lever l’espoir, les richesses d’avant
Nos plus belles pages
Parler même tout bas
Juste pour toi et moi
Tu te souviens ?
Mais là-bas
Au loin, tu nages…
Tu nages… tu nages… tu nages…
(Erick Benzi)
Ici l'automne chasse un été de plus
La 4L est morte on a repeint la rue
Elise a deux dents, Petit Jean est grand et fort
J'apprends la guitare, j'en suis à trois accords
J'ai trouvé des girolles au marché ce matin
J'aimerais vivre à Rome oh j'aimerais bien
J'ai planté des tulipes elles tardent à éclore
C'est tout je crois, ah oui, je t'aime encore
Mais où es-tu ?
Aussi loin sans même une adresse
Et que deviens-tu ?
L'espoir est ma seule caresse
J'ai coupé mes cheveux, « enfin » dirais-tu
Oh ça m'a fait bizarre mais j'ai survécu
On m'invite, on me désire et je danse et je sors
Et quand je danse je t'aime encore
Mais où es-tu ?
Aussi loin sans même une adresse
Et que deviens-tu ?
L'attente est ma seule caresse
Et je t'aime encore
Comme dans les chansons banales
Et ça me dévore
Et tout le reste m'est égal
De plus en plus fort
A chaque souffle à chaque pas
Et je t'aime encore
Et toi tu ne m'entends pas
(Jean-Jacques Goldman / J. Kapler)
Si tu me vois tourner la tête
Regarder trop par la fenêtre
Oh, retiens-moi
Si tu me surprends l'âme grise
A préparer qu'une seule valise
Oh, retiens-moi
Retiens-moi
Retiens mes pas
Fais marcher ta sirène d'amour
Ouvre tes filets de velours
Retiens-moi, love-moi
Au creux de tes promesses encore
Tout près contre ton corps
Si tu vois dans mes yeux des armes
Tirer sur le signal des larmes
Oh, retiens-moi
Si je me fais trop dure et trop fière
Si je prends l'été pour l'hiver
Oh, retiens-moi
Retiens-moi
Empêche-moi
De préférer la nuit au jour
De dire « je t'aime » sans « toujours »
Retiens-moi
Emporte-moi
Même sans appel au secours
Retiens-moi, c'est ton tour
Oh, quand tout sera fragile
Quand j'aurai l'air d'une proie facile
S'il te plaît, retiens-moi
Donne-moi
La paix de tes errances
La chaleur de ta chance et l'oubli
Dans le creux de tes reins
Donne-moi
Ce que j'ai perdu un jour
Dans ces routes et ces détours
A chercher le chemin
De tes mains
De tes mains
Retiens-moi
(Erick Benzi)
Je lui dirai qu'il est de ce pays
Où son grand-père était bûcheron
Que dans son sang l'Orient coule aussi
Que les mélanges font de beaux enfants
Qu'il est fort et bien vivant
Je lui dirai qu'il est né de l'amour
Que nous l'attendions passionnément
Que chaque nuit s'efface au nouveau jour
Qu'il sera grand mais qu'il a bien le temps
Oh dieu qu'il a bien le temps
Et que la vie l'appelle que le monde l'attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie
Qu'il est un parmi des millions d'humains
Mais bien l'unique pour moi
Je lui dirai qu'ici bas tout s'apprend
Le bien le mal et même le bonheur
Qu'il ne perde jamais ses yeux d'enfant
Devant trop de malheurs et de laideur
Qu'il regarde avec son coeur
Je lui dirai d'être sage et prudent
D'aller frôler les glaces et les feux
Qu'il goûte à tout mais sans jamais dépendre
Que trop peut être pire que trop peu
Oh bien pire que trop peu
Et que la vie l'appelle que le monde l'attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie
Qu'il est un parmi des millions d'humains
Mais bien l'unique pour moi
Je lui dirai les chansons les poèmes
Qu'il n'y a pas d'amour sans histoire
Que le bonheur est un grain que l'on sème
Qu'amour et santé ne s'achètent pas
Et qu'on n'est riche que de ça
Je lui dirai qu'un jour une autre femme
Viendra l'aimer et qu'il l'aimera
Que j'en mourrai de bonheur et de larmes
Mais que nous serons là pas après pas
Que c'est la vie et sa loi
Et que la vie l'appelle que le monde l'attend
Que la terre est si belle et le ciel est si grand
Qu'il est beau, que je l'aime, qu'il est ma vie, ma joie
Qu'il est un parmi des millions d'humains
Mais bien l'unique pour moi
Qu'il est beau que je l'aime
Qu'au-delà du mystère
Il est ma plus belle raison de vivre
Ma réponse à l'infini
(Jean-Jacques Goldman)
Il a le regard économe
Il a le verbe rare, ça me plaît
Il aime le chant des colombes et l’odeur du café
Et ces petites choses qu’on fait sans y penser
C’est mon homme, mon drapeau
Mon homme, celui qu’il me faut
Je frissonne je prends l’eau
C’est mon homme, mon abri, mon lit, mon héros
Il ne saurait pas comment briller
Ou comme un phare banal, oublié
Dans sa mer ordinaire
Il brise les vagues sans voir
Ces milliers de lumières
Qu’il m’offre sans le vouloir
C’est mon homme, mon drapeau
Mon homme, celui qu’il me faut
Je frissonne je prends l’eau
C’est mon homme, mon feu, mon repos
C’est mon homme, mon ami
Qui pardonne, celui qu’on choisit
Je tâtonne, je faillis
C’est mon homme qui fait ce qu’il dit
C’est mon homme je l’admire
Mon ozone, l’air que je respire
Mon opium, mon jour
Oh mon homme, mon toit, mon chemin, mon amour
(Erick Benzi)
Aux promesses éternelles
Aux jours de grand soleil
Aux instants d’or et de lumière
Aux silences des âmes
Aux non-dits qui s’enflamment
Aux feux complices des lunes claires
Tant que l’eau s’endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n’est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n’est vraiment fini
Vraiment
Aux parfums irréels
Aux nuits d’ambre et de miel
Aux douces magies de la peau
A nos chemins de vie
A tout ce qui nous lie
A ce passé qui nous tient chaud
Tant que l’eau s’endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n’est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n’est vraiment fini
Vraiment
Si les vents du large te ramènent
Rien n’est vraiment fini
Tant que l’eau s’endort aux yeux des reines
Comme au lit des rivières
Tant que nos mains se souviennent
Rien n’est vraiment fini
Les vents du large parfois ramènent
Le marin qui se perd
Tant que ta voix suit la mienne
Rien n’est vraiment fini
Vraiment
Rien n’est vraiment fini
(Jacques Veneruso)
Et on a éteint notre lumière
Celle qui nous guidait encore hier
Alors
Je voudrais te dire
Qu’il peut rester d’un amour si grand
Une étincelle qui défie le temps
Et puis
Je voudrais te dire
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les blessures
Que chaque jour sans toi
N’est pas normal
C’est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les injures
Que chaque jour sans toi
Sans rien de toi
C’est, c’est contre nature
Même si entre nous il y a eu des guerres
On parlait d’amour encore hier
Alors
Je voudrais te dire
Que malgré la pluie, l’hiver et les vents
Je n’oublierai pas nos soleils d’avant
Et puis
Je voudrais te dire
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les blessures
Que chaque jour sans toi
N’est pas normal
C’est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les injures
Que chaque jour sans toi
Sans rien de toi
C’est, c’est contre nature
C’est contre nature
Chaque jour sans toi
Chaque jour sans toi
C’est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les blessures
Que chaque jour sans toi
N’est pas normal
C’est contre nature
Que chaque jour sans toi
Me fait plus mal
Que toutes les injures
Que chaque jour sans toi
Sans rien de toi
C’est, c’est contre nature
Chaque jour sans toi
Chaque jour sans toi
C’est contre nature
(Jacques Veneruso)
Des milliers de baisers, des milliers de millier
Un à un de mes lèvres à tes lèvres déposés
Des millions de secondes, instantanés de bonheur
Effacés disparus en un battement de coeur
Des milliers de mots doux sur des pare-brises envolés
Numéros composés sans jamais oser parler
Bouts d’aveux déchirés dans des corbeilles à papier
Les défroisser les recoller, lire et les garder
Des milliers de caresses au millimètre carré
Des milliers de cris de souffles à nos bouches échappés
Pans de ciels effleurés, touchés, sommeils emmêlés
Rayés comme si tout ça n’avait jamais été
Je voudrais tout ramasser dans des grands sacs poubelle
Les paroles oubliées des plus banales aux plus belles
Qu’aucun ne se perde de ces instants si précieux
Ces phrases ont été dites, ces moments ont eu lieu
Tout enregistrer ajouter le son les odeurs
ADN, empreintes, mais que jamais rien ne meure
Ces millions de films de nous, mais pas du cinéma
Toutes les scènes perdues que l’on ne jouait pas
On ouvrirait tous les jours où nous serions moins forts
Tous ces embryons d’amour, toutes ces aurores
Sincères, démasqués, fragiles et vrais de candeur
Nous revoir ainsi nous rendrait peut-être meilleurs
Des milliers de baisers, des milliers de millier
Un à un de nos lèvres sur des peaux déposées
Des milliers de pensées, de moments d’éternité
De regards échangés dans des gares échangés
Des milliers de baisers en un clin d’oeil oubliés
(Jean-Jacques Goldman)